Le diagramme des traitements des processus marchands du côté de l’institution financière a été copié dans une image jointe au logiciel. « Express Checkout flow.png » (« PayPal Sandbox User Guide » (en anglais) p41 : « Testing PayPal NVP APIs ») version 2.3
C’est PayPal Express Checkout Name-Value Pair (NVP) API en cURL qui est utilisé.
Basiquement, il y a 3 fonctions (mis dans des fichiers du même nom) :
– SetExpressCheckout : Définir les informations pour le paiement
– GetExpressCheckout : Obtenir des informations sur l’acheteur
– DoExpressCheckoutPayment : Exécute le paiement et Obtenir confirmation de l’exécution du paiement
1. L’acheteur séléctionne une commande. Les informations du formulaire (montant + devise + langue) ainsi que les informations du vendeur (API_username, API_password, API_signature) sont injectés dans le SetExpressCheckout à destination de la plateforme de paiement (en cURL).
2. Le ACK du SetExpressCheckout est un succès ou un échec.
3. Si le ACK du SetExpressCheckout est un succès, l’acheteur est redirigé vers la plateforme de paiement (en spécifiant le Token du ACK dans l’url) via une redirection HTTP (JavaScript ou html). L’acheteur se logue et confirme sa commande. (L’acheteur paye sur le PSP)
4. L’acheteur est ensuite redirigé (grâce à une adresse de retour fourni dans le SetExpressCheckout) sur la plateforme de ecommerce. L’ url fournit par le PSP contient un token et le PayerID.
5. Le token peut servir à récupérer les informations de la transactions définie dans le SetExpressCheckout. Les informations sont ensuite injecté dans un GetExpressCheckout,
6. puis dans un DoExpressCheckoutPayment.
7. Si le ACK du DoExpressCheckoutPayment est un succès, les traitements du vendeur s’exécutent.
Les status / états d’une transaction : 2 : validé (Processed), 1 : test , 0 : en attente (Pending), -1 : annulé (Cancelled), -2 : Échoué (Failed ), -3 : Retour arrière (Chargeback)
Optionnel :
– Enregistrer les réponses du PSP dans un table. (KISS : Keep it Simple, Stupid)
– Pour changer la devise : définir le CURRENCYCODE dans SetExpressCheckout et DoExpressCheckoutPayment
– La langue locale est définie uniquement dans le SetExpressCheckout. (AU,DE,FR,GB,IT,ES,JP,US accepté par le PSP)
Le script ne prend en compte que les champs obligatoires par mesure de simplification. Pour ce qui est des champs facultatifs : se référer à la documentation officielle.
5 parties : Fournisseur, Consommateur, Concurrent, Partenaire et Soi-même.
Fournisseur :
– Les prestataires de services de paiement (PSP) ont un business model qui fonctionne par les commissions (partie fixe et variable) sur les transactions de leur clients (environ 2%). Pour que leur profit augmente, ils veulent augmenter leur volume de transactions et à ce que les clients envoient de plus grosse somme.
– Leur principaux partenaires sont les marchands et les plateforme de trading qui leur permet d’accroitre leur volume de transactions et les montants via les utilisateurs qui les utilisent. Ceci se fait par l’augmentation de leur nombre de clients qui est proportionnel à l’accès de leur système d’informations : l’API (Application Programming Interface) qui permet à quiconque d’automatiser les paiements.
– Leur fournisseurs sont une ou plusieurs banques. Les messages financiers sont géré électroniquement par la banque. Le PSP reçoit des confirmations via une API.
Consommateur :
– Les utilisateurs de l’internet veulent répondre à leur besoins. Les besoins de l’humanité sont récurrent (doivent être satisfait tout les jours). Ce besoin est soit un produit ou service, soit de l’argent. Les produits se trouvent chez les marchants en ligne (e-commerce). L’argent facilement gagné se trouve sur les plateforme de trading.
– Pour envoyer de l’argent, l’utilisateur à besoin d’un PSP. Et son PSP lui demande d’avoir un compte bancaire pour remplir son portefeuille électronique. Comparativement au PSP, l’internaute gagne plus par transaction si le profit est à sa valeur par défaut (maximum).
Concurrent, Partenaire et Soi-même :
– Le business model de la plateforme de trading est soit le même que celui du PSP (commissions par transactions), soit des frais d’entrée, soit des frais mensuels, soit des primes de parrainages (lien avec id) ou soit gratuit. (L’argent est gagné de la même manière que les utilisateurs.)
– Les fournisseurs des plateformes de trading sont les PSP avec leur API. (le logo est mis en évidence)
– Les utilisateurs consomment un service qui leur permet de déplacer de l’argent. La stratégie de déplacement de l’argent est définie soit par la plateforme de trading soit par les utilisateurs euxmême. (dépend de la politique interne de la plateforme de trading)
– La plateforme de trading est une couche logiciel au dessus du PSP. La conception et l’évolution de ce produit informatique peut être en partie externalisé auprès d’une ou plusieurs personnes qui s’occupe d’un logiciel libre de plateforme de trading ce qui permettrait de réduire les coûts et le temps de développement.
MONEYBOOKERS LIMITED été crée le 27/07/2001 avec le statut de « banque centrale » et « Autre inter médiation monétaire » (numéro : 4260907). Siège social: Welken House, 10-11 Charterhouse Square, London, EC1M 6EH. (http://wck2.companieshouse.gov.uk/)
Notices: UK authorised firms who have a deposit-taking permission do not usually need to obtain separate permission from the FSA to receive money from clients.
Réglementation en vigueur concernant Moneybookers :
Un intenaute sur deux consomme sur Internet en France. Les deux principaux facteurs d’achat sont le gain de temps et la perspective de payer moins cher. Entre 2003 et 2006, le nombre de boutique e-commerce à plus que doublé. Ebay enregistre plus de 4 millions de visiteurs uniques pour novembre 2004 et en gagne 2 millions de plus en 2006. Le e-commerce attirait 100 millions d’acheteurs en 2006 pour 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
La problématique des éditeurs de logiciel consiste à concevoir de nouveaux produits et services tout en réduisant le coût total de possession (TCO), tout en augmentant son chiffre d’affaire, tout en restant abordable pour leur consommateurs .
On peut conceptualiser la création d’une banque en ligne en 3 processus distincts : l’administratif, le matériel et le logiciel. L’administratif se fait auprès des autorités de régulation en la matière. Le matériel s’achète auprès de fournisseurs de serveurs de stockage. Enfin, la partie logicielle, celle qui ici proposée, est vendu par des sociétés de services.
La législation européenne
Contexte : « Le maintien d’un niveau de frais plus élevé pour les paiements transfrontaliers que pour les paiements nationaux constitue un frein aux échanges transfrontaliers et donc un obstacle au bon fonctionnement du marché intérieur. »
Directive sur le commerce électronique : Elle exonère de toute responsabilité les intermédiaires qui jouent un rôle passif en assurant le simple « transport » d’informations provenant de tiers. Elle limite également la responsabilité des prestataires de services pour d’autres activités intermédiaires, telles que le stockage d’informations.
Paiements transfrontaliers en euros : «Tout établissement communique à chaque client qui en fait la demande son numéro international de compte bancaire (IBAN) ainsi que le code d’identification de banque (BIC). »
Le secteur étudié est celui de la Banque / Finance / Paiement en ligne. Il y a plus de 8000 banques dans le monde et un réseau de branches jusqu’à 10 fois supérieur.
Sergey Brin, fondateur de Google, a annoncé qu’il attribuerait une prime globale de 10 millions de dollars aux développeurs des meilleures applications dans le cadre de l’Android Developer Challenge. Parmis les 1700 projets envoyés, seulement 50 ont été retenu. Parmi ces projets finalistes, la plupart sont des mashups utilisant les API Google dont la très célèbre Google Maps API. FreePay est aussi une application web hybride.
Un internaute sur deux consomme sur Internet en France. Les deux principaux facteurs d’achat sont le gain de temps et la perspective de payer moins cher. Entre 2003 et 2006, le nombre de boutique e-commerce à plus que doublé. Ebay enregistre plus de 4 millions de visiteurs uniques pour novembre 2004 et en gagne 2 millions de plus en 2006. Le e-commerce attirait 100 millions d’acheteurs en 2006 pour 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Source : www.acsel.asso.fr/
MySQL AB a été acheté le 16 janvier 2008 par Sun Microsystems pour 1 milliard de dollars US. Avec 400 employées dans 25 pays, MySQL AB est une des plus larges entreprise open source au monde. Elle est la société créatrice de MySQL, un système de gestion de base de données (SGDB). Il fait partie des logiciels de gestion de base de données les plus utilisés au monde, autant par le grand public (applications web principalement) que par des professionnels, au même titre que Oracle ou Microsoft SQL Server.
Selon Forrester Research, le très prestigieux institut de conseil et de recherche en technologie, le commerce électronique à généré quelques 12,2 milliards de dollars de vente annuel aux États-Unis en 2003.
Le projet
FreePay est un prototype de logiciel financier libre sur Internet qui repose sur plusieurs modules:
un Marché libre (MIC)
un module de swift libre
un module de banque libre
un module de paiement électronique (FreePay)
un module de cartes d’achats et de paiement (FreeCard)
un module d’ E-Commerce (FreeShop)
un module marché de libre-échange par enchère (FSX)
Cette solution logiciel s’appuie sur une méthode de développement en forme ouverte et a la particularité d’être sous une licence libre (la GNU GPL) permettant ainsi l’émergence d’une nouvelle forme d’économie et de marché.
Le Swift Libre enregistre les banques (Bank Identifier Code / Code SWIFT) et leur permettent d’être interopérable entre elles.
La Banque Libre fournit la vérification et la génération du numéro IBAN (International Bank Account Number) dans près de 40 pays européens dont, la France, l’Allemagne, la Suisse, la Belgique, l’Italie, l’Angleterre, le Portugal, l’Irlande…
FreePay se veut une alternative libre aux logiciels de paiement actuels, permettant à chaque utilisateur, de demander, d’envoyer et de recevoir ses paiements rapidemment à partir d’un simple courriel. Il contient un porte monnaie électronique ainsi qu’un historique consultables par les parties. Il est possible d’envoyer une transaction anonymement. Le client peut opérer des transferts de fonds depuis son compte IBAN vers le porte monnaie et inversemment.
Enfin, Free Card se charge de la validation des principales cartes d’achats et de paiement (American Express, Bankcard, China Union Pay, Diner’s Club, Discover Card, JCB, Maestro, Mastercard, Solo, Switch, Visa, Visa Electron, Voyager).
Le module d’ E-Commerce vise à faciliter l’achat de bien sur Internet. Le traitement des commandes est automatisé et contrôlé. Une fois le paiement validé, l’acheteur et le commerçant reçoivent une facture par courriel.
Le Free Stock Exchange (FSX) est un module de marché financier libre où sont effectués des transactions sur des titres financiers. L’offre et de la demande s’y confrontent en application de la philosophie du laissez-faire économique. Le FSX ne crée pas de spéculation financière (bulle spéculative) puisqu’il n’y a pas de risque de variation inverse. L’inscription y est gratuite et chaque membre est libre d’acheter des titres à n’importe quel moment. Chaque titre est identifier par un code international : l’ISIN, très utilisé dans la finance pour identifier les actions, les obligations, les bons, les warrants et les trackers.
Droit d’auteur : « Conformément aux dispositions de la présente directive, les États membres protègent les programmes d’ordinateur par le droit d’auteur en tant qu’œuvres littéraires au sens de la convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques. »
Ce produit est protégé par le droit de la propriété intellectuelle sous la forme d’une licence libre, la Licence publique générale GNU.
Equipe
The Financial Information eXchange (FIX) Protocol is a messaging standard developed specifically for the real-time electronic exchange of securities transactions. FIX is a public-domain specification owned and maintained by FIX Protocol, Ltd. http://www.fixprotocol.org/
Les modèles économiques des SSLL sont liés à la notion de service : vendre un savoir-faire et une expertise plutôt qu’un droit d’usage sur un logiciel.
« Imaginez un appareil de science fiction qui permettrait de répliquer indéfiniment n’importe quel objet. Si quelqu’un essayait de vous vendre un pneu pour votre voiture, pourquoi l’achèteriez-vous ? Vous pourriez simplement utiliser la machine à répliquer avec le pneu d’un ami ! Cependant, vous voudriez payer quelqu’un pour mettre au point un nouveau pneu pour vous, ou peut-être pour installer le pneu sur votre voiture. Ou pour vous aider au cas n’importe quelle pièce de votre voiture tombe en panne, vous voudriez sans doute une garantie de prise en charge future. Ou peut-être voudriez-vous simplement louer les services d’un mécanicien personnel. ».
Comment vendre l’idée ? ->Réduire les coûts de développement
Les entrepreneurs qui veulent ouvrir leur banque n’ont pas suffisamment de moyen financiers pour y parvenir. C’est un marché de consommateur potentiel qui mérite qu’on s’y attarde. Il faut donc leur réduire les coûts. Comme les logiciels sont immatériels, les investisseurs peuvent se partager les coûts de développement puisque le produit peut être dupliqué à l’infini. Ce qui se résume par l’équation suivante :
Ancien coût du logiciel propriétaire / Nombre de client = Nouveau coût du logiciel libre par client
Exemple sur la base d’un projet qui aurait coûté 50 000 euros par client :
50 000 Euros / 50 Clients = 1000 Euros par client
Soit une économie de 49 000 euros par client soit 2 450 000 Euros d’économie en tout. Les entrepreneurs bancaires ont donc tout intérêt a se regrouper.
La structure de la société
FreePay Inc est une Société de Services en Logiciels Libres (SS2L) spécialisé dans le domaine de la finance et de la bancassurance libre. Elle fait du conseil, de l’intégration de banque en ligne, et développe un progiciel bancaire à partir des services informatiques qu’elle fournit à ses clients.
La stratégie de l’entreprise consiste à développer une intégration horizontale, verticale et transversale du produit dans ses différents aspects (marketing, finance, organisation, informatique).
La vente de service : Le FreePay Community Process (FCP)
Demande d’un service de la part d’un client
Étude de faisabilité / Prix
Négociation et Paiement du client
Réalisation de la prestation
Conclusion
Les banques doivent s’adapter à l’évolution du marché si elles veulent rester compétitive. Les logiciels libres permettent aux banques de réduire leur TCO tout plaçant suffisamment dans l’innovation. Le marché actuel représente 617 milliards d’euros ce qui est une opportunité pour les capital-risqueurs.
La législation européenne est très favorable à la venue de nouveaux acteurs bancaire pour peu qu’il suivent la réglementation en vigueur. De plus, le marché du commerce en ligne augmente exponentiellement depuis quelques années maintenant.
Nous avons vu qu’un tel système est possible techniquement (au vu de la démonstration en ligne) car reposant sur les standards de la banque / finance (ISO / TR / IEC / ECBS) et protégé par le code de la propriété intellectuelle.
De même, la phase d’amorçage coûte dans les 30 000 euros. Cela serait réalisé dans une courte période de temps pour peu que suffisamment de personnes s’y investissent. Cela peut être un investissement en termes compétences ou en apports de capitaux. Ceux qui le veulent, peuvent aussi regarder l’annexe sur la création d’entreprise.
Il fonctionnerait ainsi de la même façon, voir mieux, que progiciels bancaires existants tout en étant moins cher et tout en assurant la compatibilité avec les anciens systèmes.