jMaki

jMaki est un framework AJAX qui a la particularité d’utiljMaki Logoiser le drap and drop pour facilement créer des appplications web en JavaScript en utilisant Java, PHP, and Phobos. Il fonctionne avec l’IDE Netbeans ou Eclipse, et via Catalina, le conteneur de servlet de Tomcat. Il est disponible sous licence BSD.

Il utilise les widgets présents dans d’autres framework tel Dojo, Script.aculo.us, Yahoo!, widgets RSS et de chat et encapsule le tout dans des tags JSP 2.0 ou JSF 1.1, pour le traiter comme du code Java.

Sun Microsystems à dévoilé jMaki lors de la conférence Ajax Experience 2006 (Ajaxian) :

« jMaki is a lightweight, client/server framework for creating JavaScript-centric Web 2.0 applications. You can use jMaki when developing with PHP, Portlets, Facelets, Java, and JavaScript. »

Il crée à la fois un en tête ainsi qu’un code. Le widget est immédiatement visible en rechargeant la page depuis le navigateur. Les propriétés sont accesible depuis le bouton jMaki.

Project jMaki

Déclaration sur l’espérantisme 9 août 1905

Ecouter l’articleDrapeau Esperanto

1 – L’espérantisme est l’effort fait pour répandre dans le monde entier l’usage d’une langue neutre, qui, ne « s’imposant pas dans la vie intérieure des peuples et n’ayant aucunement pour but de remplacer les langues existantes », donnerait aux hommes des diverses nations la possibilité de se comprendre entre eux, qui pourrait servir pour les institutions publiques dans les pays où se trouvent des rivalités de langues, et dans laquelle pourraient être publiés les ouvrages qui ont un égal intérêt pour tous les peuples. Toute autre idée que tel ou tel espérantiste pourrait lier à l’espérantisme est une affaire purement privée dont l’espérantisme n’a pas à répondre.

2 – Comme actuellement aucun chercheur au monde ne doute qu’une langue internationale ne peut être qu’une langue artificielle, et comme tous les essais depuis deux siècles n’ont présenté que des projets théoriques et que la seule langue effectivement terminée et s’étant montrée apte à toutes les relations est la langue Espéranto, les partisans de l’idée d’une langue internationale, ayant conscience qu’une dispute théorique n’aboutirait à rien, et que le but ne peut être atteint que par un travail pratique, se sont groupés depuis longtemps autour de la seule langue espéranto et travaillent pour sa diffusion et l’enrichissement de sa littérature.

3 – L’auteur de l’espéranto ayant dès le début et une fois pour toutes renoncé à tout droit et privilège personnels relatifs à cette langue, l’Espéranto n’est « la propriété de personne », ni au point de vue matériel ni au point de vue moral. Le Maître de la langue est le monde entier et chacun peut éditer en cette langue ou sur elle tous les ouvrages qu’il désire et l’employer pour tous les buts possibles.

4 – L’espéranto ne dépend d’aucun homme en particulier et qui aurait le droit de légiférer. Toutes les opinions et tous les ouvrages du créateur de l’espéranto, comme des autres espérantistes ont un caractère absolument privé. Le seul livre que tous les Espérantistes doivent reconnaître une fois pour toutes est le « Fundamento de Esperanto » dans lequel personne n’a le droit de faire même le plus petit changement. Les idées qui ne peuvent s’exprimer commodément à l’aide des matériaux qu’on y trouve peuvent être rendues par tout espérantiste de la manière qu’il trouve la plus juste, comme en toute autre langue. Mais, pour plus d’unité, il est recommandé à tous les espérantistes d’imiter le plus possible le style des ouvrages du créateur de l’espéranto.

5 – Est nommé espérantiste celui qui sait et emploie la langue espéranto, pour quelque but que ce soit. L’adhésion à une société espérantiste est recommandable, mais non obligatoire.

FreePay – Business Plan – Solution financière électronique sécurisé Libre

Free Xbox 360 Free PS3 Free Wii Official NBC G4TV Report (294 749 Vues)

http://www.youtube.com/watch?v=DFKYVE__Mug

Business Plan

Introduction

Sur le long terme, la problématique des banques consiste à garder leur avantage compétitif. Elles doivent modifier leur business plan : connaître les tendances du marché et se repositionner sur une niche. Cela concerne à la fois les banques centrales, les banques privées, les banques de détails et les banques d’investissements.

La problématique des éditeurs de logiciel consiste à concevoir de nouveaux produits et services tout en réduisant le coût total de possession (TCO), tout en augmentant son chiffre d’affaire, tout en restant abordable pour leur consommateurs .

On peut conceptualiser la création d’une banque en ligne en 3 processus distincts : l’administratif, le matériel et le logiciel. L’administratif se fait auprès des autorités de régulation en la matière. Le matériel s’achète auprès de fournisseurs de serveurs de stockage. Enfin, la partie logicielle, celle qui ici proposée, est vendu par des sociétés de services.

La législation européenne

Contexte : « Le maintien d’un niveau de frais plus élevé pour les paiements transfrontaliers que pour les paiements nationaux constitue un frein aux échanges transfrontaliers et donc un obstacle au bon fonctionnement du marché intérieur. »

Source : RÈGLEMENT (CE) No 2560/2001 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 19 décembre 2001 concernant les paiements transfrontaliers en euros

Directive sur le commerce électronique : Elle exonère de toute responsabilité les intermédiaires qui jouent un rôle passif en assurant le simple « transport » d’informations provenant de tiers. Elle limite également la responsabilité des prestataires de services pour d’autres activités intermédiaires, telles que le stockage d’informations.

Source : Directive 2000/31/CE du Parlement européen et du Conseil du 8 juin 2000 relative à certains aspects juridiques des services de la société de l’information, et notamment du commerce électronique, dans le marché intérieur («directive sur le commerce électronique»)

Paiements transfrontaliers en euros : «Tout établissement communique à chaque client qui en fait la demande son numéro international de compte bancaire (IBAN) ainsi que le code d’identification de banque (BIC). »

Source : Règlement (CE) n° 2560/2001 du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 2001 concernant les paiements transfrontaliers en euros

Plus d’informations sur le cadre européen des services financiers et bancaires.

Étude de marché

Le secteur étudié est celui de la Banque / Finance / Paiement en ligne. Il y a plus de 8000 banques dans le monde et un réseau de branches jusqu’à 10 fois supérieur.

Sergey Brin, fondateur de Google, a annoncé qu’il attribuerait une prime globale de 10 millions de dollars aux développeurs des meilleures applications dans le cadre de l’Android Developer Challenge. Parmis les 1700 projets envoyés, seulement 50 ont été retenu. Parmi ces projets finalistes, la plupart sont des mashups utilisant les API Google dont la très célèbre Google Maps API. FreePay est aussi une application web hybride.

Un internaute sur deux consomme sur Internet en France. Les deux principaux facteurs d’achat sont le gain de temps et la perspective de payer moins cher. Entre 2003 et 2006, le nombre de boutique e-commerce à plus que doublé. Ebay enregistre plus de 4 millions de visiteurs uniques pour novembre 2004 et en gagne 2 millions de plus en 2006. Le e-commerce attirait 100 millions d’acheteurs en 2006 pour 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Source : www.acsel.asso.fr/

MySQL AB a été acheté le 16 janvier 2008 par Sun Microsystems pour 1 milliard de dollars US. Avec 400 employées dans 25 pays, MySQL AB est une des plus larges entreprise open source au monde. Elle est la société créatrice de MySQL, un système de gestion de base de données (SGDB). Il fait partie des logiciels de gestion de base de données les plus utilisés au monde, autant par le grand public (applications web principalement) que par des professionnels, au même titre que Oracle ou Microsoft SQL Server.

Selon Forrester Research, le très prestigieux institut de conseil et de recherche en technologie, le commerce électronique à généré quelques 12,2 milliards de dollars de vente annuel aux États-Unis en 2003.

Le projet

FreePay est un prototype de logiciel financier libre sur Internet qui repose sur plusieurs modules:

  • un Marché libre (MIC)
  • un module de swift libre
  • un module de banque libre
  • un module de paiement électronique (FreePay)
  • un module de cartes d’achats et de paiement (FreeCard)
  • un module d’ E-Commerce (FreeShop)
  • un module marché de libre-échange par enchère (FSX)

Télécharger la brochure (.pdf) Image brochure PDF (.odp)

Cette solution logiciel s’appuie sur une méthode de développement en forme ouverte et a la particularité d’être sous une licence libre (la GNU GPL) permettant ainsi l’émergence d’une nouvelle forme d’économie et de marché.

Elle se base sur des standards ouverts élaborées par l’Organisation internationale de normalisation (ISO) et le European Committee for Banking Standards (ECBS).

Le Swift Libre enregistre les banques (Bank Identifier Code / Code SWIFT) et leur permettent d’être interopérable entre elles.

La Banque Libre fournit la vérification et la génération du numéro IBAN (International Bank Account Number) dans près de 40 pays européens dont, la France, l’Allemagne, la Suisse, la Belgique, l’Italie, l’Angleterre, le Portugal, l’Irlande…

FreePay se veut une alternative libre aux logiciels de paiement actuels, permettant à chaque utilisateur, de demander, d’envoyer et de recevoir ses paiements rapidemment à partir d’un simple courriel. Il contient un porte monnaie électronique ainsi qu’un historique consultables par les parties. Il est possible d’envoyer une transaction anonymement. Le client peut opérer des transferts de fonds depuis son compte IBAN vers le porte monnaie et inversemment.

Enfin, Free Card se charge de la validation des principales cartes d’achats et de paiement (American Express, Bankcard, China Union Pay, Diner’s Club, Discover Card, JCB, Maestro, Mastercard, Solo, Switch, Visa, Visa Electron, Voyager).

Le module d’ E-Commerce vise à faciliter l’achat de bien sur Internet. Le traitement des commandes est automatisé et contrôlé. Une fois le paiement validé, l’acheteur et le commerçant reçoivent une facture par courriel.

Le Free Stock Exchange (FSX) est un module de marché financier libre où sont effectués des transactions sur des titres financiers. L’offre et de la demande s’y confrontent en application de la philosophie du laissez-faire économique. Le FSX ne crée pas de spéculation financière (bulle spéculative) puisqu’il n’y a pas de risque de variation inverse. L’inscription y est gratuite et chaque membre est libre d’acheter des titres à n’importe quel moment. Chaque titre est identifier par un code international : l’ISIN, très utilisé dans la finance pour identifier les actions, les obligations, les bons, les warrants et les trackers.

Plus d’info sur http://freepay.fr/

Droit d’auteur : « Conformément aux dispositions de la présente directive, les États membres protègent les programmes d’ordinateur par le droit d’auteur en tant qu’œuvres littéraires au sens de la convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques. »

Source : Directive 91/250/CEE du Conseil, du 14 mai 1991, concernant la protection juridique des programmes d’ordinateur

Ce produit est protégé par le droit de la propriété intellectuelle sous la forme d’une licence libre, la Licence publique générale GNU.

Equipe

The Financial Information eXchange (FIX) Protocol is a messaging standard developed specifically for the real-time electronic exchange of securities transactions. FIX is a public-domain specification owned and maintained by FIX Protocol, Ltd. http://www.fixprotocol.org/

Qu’es ce qu’un logiciel libre ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libre

Modèles économiques des SS2L

Les modèles économiques des SSLL sont liés à la notion de service : vendre un savoir-faire et une expertise plutôt qu’un droit d’usage sur un logiciel.

Le passage suivant de « Open Source Development with CVS (M. Bar & K. Fogel) » (p23/368), illustre le fondement de ce modèle :

« Imaginez un appareil de science fiction qui permettrait de répliquer indéfiniment n’importe quel objet. Si quelqu’un essayait de vous vendre un pneu pour votre voiture, pourquoi l’achèteriez-vous ? Vous pourriez simplement utiliser la machine à répliquer avec le pneu d’un ami ! Cependant, vous voudriez payer quelqu’un pour mettre au point un nouveau pneu pour vous, ou peut-être pour installer le pneu sur votre voiture. Ou pour vous aider au cas n’importe quelle pièce de votre voiture tombe en panne, vous voudriez sans doute une garantie de prise en charge future. Ou peut-être voudriez-vous simplement louer les services d’un mécanicien personnel. ».

Comment vendre l’idée ? -> Réduire les coûts de développement

Les entrepreneurs qui veulent ouvrir leur banque n’ont pas suffisamment de moyen financiers pour y parvenir. C’est un marché de consommateur potentiel qui mérite qu’on s’y attarde. Il faut donc leur réduire les coûts. Comme les logiciels sont immatériels, les investisseurs peuvent se partager les coûts de développement puisque le produit peut être dupliqué à l’infini. Ce qui se résume par l’équation suivante :

Ancien coût du logiciel propriétaire / Nombre de client = Nouveau coût du logiciel libre par client

Exemple sur la base d’un projet qui aurait coûté 50 000 euros par client :

50 000 Euros / 50 Clients = 1000 Euros par client

Soit une économie de 49 000 euros par client soit 2 450 000 Euros d’économie en tout. Les entrepreneurs bancaires ont donc tout intérêt a se regrouper.

La structure de la société

FreePay Inc est une Société de Services en Logiciels Libres (SS2L) spécialisé dans le domaine de la finance et de la bancassurance libre. Elle fait du conseil, de l’intégration de banque en ligne, et développe un progiciel bancaire à partir des services informatiques qu’elle fournit à ses clients.

La stratégie de l’entreprise consiste à développer une intégration horizontale, verticale et transversale du produit dans ses différents aspects (marketing, finance, organisation, informatique).

La vente de service : Le FreePay Community Process (FCP)

  1. Demande d’un service de la part d’un client

  2. Étude de faisabilité / Prix

  3. Négociation et Paiement du client

  4. Réalisation de la prestation

Conclusion

Les banques doivent s’adapter à l’évolution du marché si elles veulent rester compétitive. Les logiciels libres permettent aux banques de réduire leur TCO tout plaçant suffisamment dans l’innovation. Le marché actuel représente 617 milliards d’euros ce qui est une opportunité pour les capital-risqueurs.

La législation européenne est très favorable à la venue de nouveaux acteurs bancaire pour peu qu’il suivent la réglementation en vigueur. De plus, le marché du commerce en ligne augmente exponentiellement depuis quelques années maintenant.

Nous avons vu qu’un tel système est possible techniquement (au vu de la démonstration en ligne) car reposant sur les standards de la banque / finance (ISO / TR / IEC / ECBS) et protégé par le code de la propriété intellectuelle.

De même, la phase d’amorçage coûte dans les 30 000 euros. Cela serait réalisé dans une courte période de temps pour peu que suffisamment de personnes s’y investissent. Cela peut être un investissement en termes compétences ou en apports de capitaux. Ceux qui le veulent, peuvent aussi regarder l’annexe sur la création d’entreprise.

Il fonctionnerait ainsi de la même façon, voir mieux, que progiciels bancaires existants tout en étant moins cher et tout en assurant la compatibilité avec les anciens systèmes.

Banque Libre / Free Banking

Une Banque libre tel que la défini par Kevin Dowd[1] est système financier qui n’implique pas de banque centrale ni aucun autre régulateur financier, y compris le gouvernement. Ceci dans le but que les institutions financières puissent agir librement, tel que défini par les forces en présences sur le marché.

Théorie

La question la plus fondamentale généralement adressé à la théorie des banques libres est, comment un système bancaire et monétaire peut-il s’organiser sous une politique de Laissez-faire ?[2]

Sortit en 1987, l’article The Evolution of a Free Banking System offre une explication de la progression de la dématérialisation des dépôts sous une politique de laissez-faire. Cette explication débute par l’idée de création d’une monnaie comme moyen d’échange et se termine sur les institutions de compensation bancaires.[3]

Le fait que les systèmes monétaires peuvent fonctionner facilement sans régulations des gouvernements soulève la question suivante : Pourquoi les gouvernements interviennent-ils dans la régulation de la monnaie?[4]

Tel que le suggère Lawrence White et George A. Selgin, professeurs d’économie, la cause de cette intervention s’explique du fait que les pressions fiscales imposés aux gouvernements leur imposent de rechercher à extraire des sources de capitaux aux principaux détenteurs de la monnaie.

Or, de ce que dit Friedrich Hayek dans son livre Denationalisation of Money, c’est que la concurrence est bonne et qu’un système de monnaie privée ne pose pas de problèmes. A l’opposé, dit-il, il y a de gros problèmes si le gouvernement s’en charge.

Bibliographie

Notes et références de l’article

 

  1. Free Banking Homepage by Kevin Dowd
  2. George Selgin’s Free Banking
  3. The Evolution of a Free Banking System
  4. George A. Selgin Associate Professor of Economics

Lien externe

Free Banking and Monetary Economics Links

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Widgets Dojo en HTML validé par le W3C

Si vous voulez que votre HTML soit valide W3C, il faut changer l’attribut dojoType qui n’est pas reconnu. Exemple :

 <input dojoType="ComboBox">

devient

<input class="dojo-ComboBox">

où ComboBox est votre Widget. Vous pouvez donc ainsi faire de l’AJAX compatible aux normes du W3C.

Travail collaboratif

Le travail collaboratif est un nouveau modèle économique de production dans lesquels se joint un grand nombre de personnes au moyen de nouveaux outils de communication (ex : Internet) en vue de maximiser l’énergie créative lors de projet d’envergure (comme une encyclopédie), avec ceci qu’elle n’est plus fondée sur l’organisation hiérarchisé traditionnelle.

Origine

Le terme a été introduit par Yochai Benkler, professeur de loi à l’Université Yale , dans un essai intitulé Coase’s Penguin[1] écrit pour « ceux qui étudient les organisations et font la politique de la propriété intellectuelle » afin de mettre en lumière la propriété intellectuelle avec ce nouveau modèle de production.

Exemples

Parmi les produits ayant été crée collaborativement on peut citer GNU / Linux, un système d’exploitation pour ordinateur; Slashdot, un site d’actualité sur l’informatique; Wikipédia, l’encyclopedie libre que chacun peut améliorer. Ces exmples montrent que ‘on peut créer des logiciels tout aussi bien que les équivalent propriétaire(L’Encyclopædia Britannica et Microsoft Windows, pour le système d’expoitation)

Notes et références

 

  1. « Coase’s Penguin » (au format Adobe pdf )
  2. Is free software “communist”? Maybe yes… By Terry Hancock

Faire un Hello World avec le Dojo Toolkit

Le présent livre a pour finalité de fournir un ensemble de connaissance de départ pour les nouveaux utilisateurs de Dojo. Il se base sur http://dojo.jot.com/WikiHome/Tutorials/HelloWorld.

Notes

Il est important que la version 0.4.0 ou supérieure soit utilisée. Elle peut être trouvée à cette adresse :

http://download.dojotoolkit.org/release-0.4.0/

Initialiser Dojo

Créer l’arborescence suivante :

- HelloWorldTutorial/
   |
   |---- js/
         |
         ---- dojo/

télécharger la dernière version de dojo et la décompresser dns le répertoire HelloWorld/js/dojo/

Vous devriez alors avoir la structure suivante : (‘..’ indique qu’il y a plus de répertoire)

   - HelloWorldTutorial/
   |
   |-- js/
         |
         -- dojo/
              |
              -- build.txt
              -- CHANGELOG
              -- demos
                   |
                   -- ..
              -- dojo.js
              -- dojo.js.uncompressed.js
              -- iframe_history.html
              -- LICENSE
              -- README
              -- src/
                   |
                   -- ..

Pour commencer

Nous allons maintenant créer une page html de base qui servira à appeler toute les fonctionnalitées de Dojo que nous utiliserons par la suite.

<html>
 <head>
   <title>Dojo: Hello World!</title>
   <!-- SECTION 1 -->
   <script type="text/javascript" src="js/dojo/dojo.js"></script>
 </head>
 <body>
 </body>
</html>

Créer un bouton gadget

Nous allons créer un bouton gadget (widget en anglais, c’est ce terme qui est utilisé par Dojo) avec le texte Hello world. Dans ce cas ci, trois option sont disponible (mouseOut, mouseOver, et mouseDown), qui enrichissent considérablement l’expérence de l’utilisateur !

la première chose à faire est de demander à Dojo de charger le module correspondant.

Dans l’en-tête (<head> jusqu’à </head>), placer la section correspondante :

<!-- SECTION 2 -->
 <script type="text/javascript">
  // Charge le code de Dojo relatif aux fonctions de chargement des widgets
    dojo.require("dojo.widget.*");
  // Charge le code de Dojo relatif au bouton gadget
    dojo.require("dojo.widget.Button");
 </script>

Le premier dojo.require instruit dojo d’inclure les fonctions widget (gadgets) (Attention cela ne charge pas tout les widgets!) ; c’est les lines d’instructions du second dojo.require qui charge le boutton. Si vous oubliez la deuxième ligne, vous aurez un bouton en HTML.

Après avoir fait ces changements, insérer ce code suivant à l’intérieur des balises <body> et </body>

<button dojoType="Button" widgetId="helloButton">Salut tout le monde!</button>

L’élément clé à percevoir ici est le dojoType. Le type est ici un bouton, mais nous pourrins mettre un input à la place.

Le widgetId identifie le bouton. Il peut être remplacé par siplement id .

Pour mettre plusieurs bouton avec la même phrase, il faut copier cette ligne et changer l’id.

Open Source Banking

Open Source Banking (OSB) est une maquette de Banque sur Internet.

Voir : http://bts.fadeno.org/osb/

Télécharger : http://bts.fadeno.org/osb/osb.7z

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Free Digital Money

Free Digital Money ou FreeDMoney est un projet open source qui a pour but la stimulation et la promotion d’idée relative à la monnaie électronique. Il est sous licence Apache V2.0 et est implementé par Rachel Willmer [1] en C++ et en Python. Le projet est hébergé par Sourceforge [2]. Annoncé le 16 octobre 2006, il offre pour l’instant la possibilité de crée des devises via une une banque virtuelle Open Source en AJAX [3]. Selon l’observateur DigitalCurrency.info qui fournit des informations sur la monnaie électronique, le projet utilise le P2P pour transferer des valeurs.[4]

Free Digital Money

Notes et références

http://www.linkedin.com/pub/0/36/15b

http://sourceforge.net/projects/freedmoney

http://testbank.freedmoney.org/

http://www.digitalcurrency.info/aggregator/sources/10

 

Liens externes