Qu’est-ce que Moneybookers ?

– Moneybookers est un service paiement en ligne sécurisé qui vous permet d’envoyer et de recevoir de l’argent instantanément à partir d’une adresse e-mail. L’ouverture de compte est gratuite ; et le chargement et le retrait d’argent se fait par l’intermédiaire d’une carte de crédit (Visa, mastercard, diners, american express, jcb, delta / visa debit et visa electron) ou par virement bancaire.

– Moneybookers est traduit en 12 langues différentes. (Anglais, Allemand, Français, Espagnol, Italien, Polonais, Grec moderne, Roumain, Russe, Turc, Chinois, Tchèque)

– Les frais de transaction sont peu élevé et les transactions peuvent être consultées dans l’historique du compte à tout moment.

– Moneybookers est une institution émettrice de monnaie électronique qui permet au marchands (société ou négociant) d’accepter les paiements en ligne de clients du monde entier sans aucun frais d’installation, ni de frais mensuels. (en anglais : Payment Service Provider)

– Moneybookers Ltd est une société enregistrée au registre du Commerce de l’Angleterre et du Pays de Galles sous le No 4260907. Siège social: Welken House, 10-11 Charterhouse Square, London, EC1M 6EH. Elle est agréé en vertu de la législation du Royaume-Uni et de l’Union Européenne et régi par la Financial Services Authority (FSA), l’Autorité des services financiers au Royaume-Uni.

Source :
• Le Site officiel de Moneybookers http://moneybookers.com/
• Electronic Commerce (EC Directive) Regulations’ – Avertissement légal
http://www.moneybookers.com/app/help.pl?s=ecrcpr
• Financial Services Authority of the United Kingdom (FSA) : http://www.fsa.gov.uk/
• Numéro d’enregistrement de Moneybookers auprès de la FSA : 214225
http://www.fsa.gov.uk/register/firmSearchForm.do
• Financial Services and Markets Act 2000 : http://www.opsi.gov.uk/acts/acts2000/ukpga_20000008_en_1
• The Electronic Commerce (EC Directive) Regulations 2002 http://www.opsi.gov.uk/si/si2002/20022013.htm
• Directive 2000/46/CE du Parlement européen et du Conseil du 18 septembre 2000 concernant l’accès à l’activité des établissements de monnaie électronique et son exercice ainsi que la surveillance prudentielle de ces établissements
http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CELEX:32000L0046:FR:NOT

Revenus & Légalité dans le logiciel Give1Get2

Revenus

Le lien vers le programme de parrainage est ici : http://www.moneybookers.com/app/referral.pl

Il y a plus de 9 millions de client qui utilisent Moneybookers (selon Moneybookers). La population cible visé est majoritairement celle déjà inscrite. L’affilié ne peux prendre de commissions sur des personnes déjà inscrite. (qu’il n’a pas lui même parrainé, sous-entendu)

Pour les personnes qui ne sont pas encore inscrite, elles peuvent s’inscrire directement à l’url http://moneybookers.com/ : dans ce cas, l’affilié ne prend pas de commission.

Soit, dernière option, s’inscrire avec le lien de l’affilié (l’url fourni en bas de page sur le script), dans ce cas, l’affilié recevra des commissions sur ce que gagne le PSP (à hauteur de 30% et, limité à 100 Euros max) Ce n’est pas un surcoût (répartition 30-70). C’est donc complètement transparent pour l’utilisateur final.

Cette mesure incitative, je l’ai mis en place pour augmenter le nombre de mes partenaires sur ce projet. Je pensai que cela était légitime afin de pouvoir payer les couts fixes (nom de domaine) et les coûts variable de fonctionnement (bande passante, base de donnée) de chacun des sites partenaires.

De plus, chaque utilisateur à aussi cette possibilité de parrainer d’autres utilisateurs en faisant ses demandes de paiements. Je trouve que c’est une preuve d’équité.

Légalité

Je pense que mon système est légal car j’ai fais des recherches en ce sens avant de le mettre à disposition de tous. Je considère qu’il va dans le sens des principes de l’union européenne. (http://europa.eu/scadplus/european_convention/objectives_fr.htm) . J’ai joint dans le dossier « support » > « docs » les documents de référence concernant le contexte législatif, juridique et réglementaire qui pourrait s’y rapporter.

Le site internet de la commission européenne est très instructif sur cette question. ( http://ec.europa.eu/internal_market/top_layer/index_24_fr.htm ) Rubrique : Commission européenne >Marché Intérieur > Le marché unique des services > Services financiers. Je ne suis pas complètement d’accord sur le choix de cette rubrique puisque la plateforme de trading offre un service gratuit (sans contrepartie) et ne gère pas d’argent (uniquement la confirmation que l’argent a été transféré).

Fonds d’investissements > Investissements alternatifs : il existe un Projet de Directive relative aux gérants de fonds dits ‹ alternatifs ›. Ce projet de directive peut encore être changé, et, la version finale ne va pas forcément s’appliquer à ce cas très précis. http://ec.europa.eu/internal_market/investment/alternative_investments_fr.htm

Services de paiement > Monnaie électronique : La plateforme de trading ne crée pas de monnaie. Donc, cela ne concerne que le PSP Moneybookers. http://ec.europa.eu/internal_market/payments/emoney/index_fr.htm

Services de paiement > e-Facturation : c’est PSP Moneybookers qui gère la facturation (il peut le désactiver) Uniquement une copie est gardé à des fins d’archive par la plateforme de trading (ou rien suivant le paramétrage) http://ec.europa.eu/internal_market/payments/einvoicing/index_fr.htm

Conglomérats financiers : Selon la taille du système de trading Give1Get2 et sa structure, il peut entrer ou ne pas entrer dans cette catégorie. C’est au choix du/des entrepreneurs selon les opportunités de fusion / acquisitions. http://ec.europa.eu/internal_market/financial-conglomerates/index_fr.htm

Commerce électronique : Cela dépend de ce qui est fait par les clients en contrepartie de l’argent envoyé. http://ec.europa.eu/internal_market/e-commerce/directive_fr.htm

FreePay – Business Plan – Solution financière électronique sécurisé Libre

Free Xbox 360 Free PS3 Free Wii Official NBC G4TV Report (294 749 Vues)

http://www.youtube.com/watch?v=DFKYVE__Mug

Business Plan

Introduction

Sur le long terme, la problématique des banques consiste à garder leur avantage compétitif. Elles doivent modifier leur business plan : connaître les tendances du marché et se repositionner sur une niche. Cela concerne à la fois les banques centrales, les banques privées, les banques de détails et les banques d’investissements.

La problématique des éditeurs de logiciel consiste à concevoir de nouveaux produits et services tout en réduisant le coût total de possession (TCO), tout en augmentant son chiffre d’affaire, tout en restant abordable pour leur consommateurs .

On peut conceptualiser la création d’une banque en ligne en 3 processus distincts : l’administratif, le matériel et le logiciel. L’administratif se fait auprès des autorités de régulation en la matière. Le matériel s’achète auprès de fournisseurs de serveurs de stockage. Enfin, la partie logicielle, celle qui ici proposée, est vendu par des sociétés de services.

La législation européenne

Contexte : « Le maintien d’un niveau de frais plus élevé pour les paiements transfrontaliers que pour les paiements nationaux constitue un frein aux échanges transfrontaliers et donc un obstacle au bon fonctionnement du marché intérieur. »

Source : RÈGLEMENT (CE) No 2560/2001 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 19 décembre 2001 concernant les paiements transfrontaliers en euros

Directive sur le commerce électronique : Elle exonère de toute responsabilité les intermédiaires qui jouent un rôle passif en assurant le simple « transport » d’informations provenant de tiers. Elle limite également la responsabilité des prestataires de services pour d’autres activités intermédiaires, telles que le stockage d’informations.

Source : Directive 2000/31/CE du Parlement européen et du Conseil du 8 juin 2000 relative à certains aspects juridiques des services de la société de l’information, et notamment du commerce électronique, dans le marché intérieur («directive sur le commerce électronique»)

Paiements transfrontaliers en euros : «Tout établissement communique à chaque client qui en fait la demande son numéro international de compte bancaire (IBAN) ainsi que le code d’identification de banque (BIC). »

Source : Règlement (CE) n° 2560/2001 du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 2001 concernant les paiements transfrontaliers en euros

Plus d’informations sur le cadre européen des services financiers et bancaires.

Étude de marché

Le secteur étudié est celui de la Banque / Finance / Paiement en ligne. Il y a plus de 8000 banques dans le monde et un réseau de branches jusqu’à 10 fois supérieur.

Sergey Brin, fondateur de Google, a annoncé qu’il attribuerait une prime globale de 10 millions de dollars aux développeurs des meilleures applications dans le cadre de l’Android Developer Challenge. Parmis les 1700 projets envoyés, seulement 50 ont été retenu. Parmi ces projets finalistes, la plupart sont des mashups utilisant les API Google dont la très célèbre Google Maps API. FreePay est aussi une application web hybride.

Un internaute sur deux consomme sur Internet en France. Les deux principaux facteurs d’achat sont le gain de temps et la perspective de payer moins cher. Entre 2003 et 2006, le nombre de boutique e-commerce à plus que doublé. Ebay enregistre plus de 4 millions de visiteurs uniques pour novembre 2004 et en gagne 2 millions de plus en 2006. Le e-commerce attirait 100 millions d’acheteurs en 2006 pour 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Source : www.acsel.asso.fr/

MySQL AB a été acheté le 16 janvier 2008 par Sun Microsystems pour 1 milliard de dollars US. Avec 400 employées dans 25 pays, MySQL AB est une des plus larges entreprise open source au monde. Elle est la société créatrice de MySQL, un système de gestion de base de données (SGDB). Il fait partie des logiciels de gestion de base de données les plus utilisés au monde, autant par le grand public (applications web principalement) que par des professionnels, au même titre que Oracle ou Microsoft SQL Server.

Selon Forrester Research, le très prestigieux institut de conseil et de recherche en technologie, le commerce électronique à généré quelques 12,2 milliards de dollars de vente annuel aux États-Unis en 2003.

Le projet

FreePay est un prototype de logiciel financier libre sur Internet qui repose sur plusieurs modules:

  • un Marché libre (MIC)
  • un module de swift libre
  • un module de banque libre
  • un module de paiement électronique (FreePay)
  • un module de cartes d’achats et de paiement (FreeCard)
  • un module d’ E-Commerce (FreeShop)
  • un module marché de libre-échange par enchère (FSX)

Télécharger la brochure (.pdf) Image brochure PDF (.odp)

Cette solution logiciel s’appuie sur une méthode de développement en forme ouverte et a la particularité d’être sous une licence libre (la GNU GPL) permettant ainsi l’émergence d’une nouvelle forme d’économie et de marché.

Elle se base sur des standards ouverts élaborées par l’Organisation internationale de normalisation (ISO) et le European Committee for Banking Standards (ECBS).

Le Swift Libre enregistre les banques (Bank Identifier Code / Code SWIFT) et leur permettent d’être interopérable entre elles.

La Banque Libre fournit la vérification et la génération du numéro IBAN (International Bank Account Number) dans près de 40 pays européens dont, la France, l’Allemagne, la Suisse, la Belgique, l’Italie, l’Angleterre, le Portugal, l’Irlande…

FreePay se veut une alternative libre aux logiciels de paiement actuels, permettant à chaque utilisateur, de demander, d’envoyer et de recevoir ses paiements rapidemment à partir d’un simple courriel. Il contient un porte monnaie électronique ainsi qu’un historique consultables par les parties. Il est possible d’envoyer une transaction anonymement. Le client peut opérer des transferts de fonds depuis son compte IBAN vers le porte monnaie et inversemment.

Enfin, Free Card se charge de la validation des principales cartes d’achats et de paiement (American Express, Bankcard, China Union Pay, Diner’s Club, Discover Card, JCB, Maestro, Mastercard, Solo, Switch, Visa, Visa Electron, Voyager).

Le module d’ E-Commerce vise à faciliter l’achat de bien sur Internet. Le traitement des commandes est automatisé et contrôlé. Une fois le paiement validé, l’acheteur et le commerçant reçoivent une facture par courriel.

Le Free Stock Exchange (FSX) est un module de marché financier libre où sont effectués des transactions sur des titres financiers. L’offre et de la demande s’y confrontent en application de la philosophie du laissez-faire économique. Le FSX ne crée pas de spéculation financière (bulle spéculative) puisqu’il n’y a pas de risque de variation inverse. L’inscription y est gratuite et chaque membre est libre d’acheter des titres à n’importe quel moment. Chaque titre est identifier par un code international : l’ISIN, très utilisé dans la finance pour identifier les actions, les obligations, les bons, les warrants et les trackers.

Plus d’info sur http://freepay.fr/

Droit d’auteur : « Conformément aux dispositions de la présente directive, les États membres protègent les programmes d’ordinateur par le droit d’auteur en tant qu’œuvres littéraires au sens de la convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques. »

Source : Directive 91/250/CEE du Conseil, du 14 mai 1991, concernant la protection juridique des programmes d’ordinateur

Ce produit est protégé par le droit de la propriété intellectuelle sous la forme d’une licence libre, la Licence publique générale GNU.

Equipe

The Financial Information eXchange (FIX) Protocol is a messaging standard developed specifically for the real-time electronic exchange of securities transactions. FIX is a public-domain specification owned and maintained by FIX Protocol, Ltd. http://www.fixprotocol.org/

Qu’es ce qu’un logiciel libre ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libre

Modèles économiques des SS2L

Les modèles économiques des SSLL sont liés à la notion de service : vendre un savoir-faire et une expertise plutôt qu’un droit d’usage sur un logiciel.

Le passage suivant de « Open Source Development with CVS (M. Bar & K. Fogel) » (p23/368), illustre le fondement de ce modèle :

« Imaginez un appareil de science fiction qui permettrait de répliquer indéfiniment n’importe quel objet. Si quelqu’un essayait de vous vendre un pneu pour votre voiture, pourquoi l’achèteriez-vous ? Vous pourriez simplement utiliser la machine à répliquer avec le pneu d’un ami ! Cependant, vous voudriez payer quelqu’un pour mettre au point un nouveau pneu pour vous, ou peut-être pour installer le pneu sur votre voiture. Ou pour vous aider au cas n’importe quelle pièce de votre voiture tombe en panne, vous voudriez sans doute une garantie de prise en charge future. Ou peut-être voudriez-vous simplement louer les services d’un mécanicien personnel. ».

Comment vendre l’idée ? -> Réduire les coûts de développement

Les entrepreneurs qui veulent ouvrir leur banque n’ont pas suffisamment de moyen financiers pour y parvenir. C’est un marché de consommateur potentiel qui mérite qu’on s’y attarde. Il faut donc leur réduire les coûts. Comme les logiciels sont immatériels, les investisseurs peuvent se partager les coûts de développement puisque le produit peut être dupliqué à l’infini. Ce qui se résume par l’équation suivante :

Ancien coût du logiciel propriétaire / Nombre de client = Nouveau coût du logiciel libre par client

Exemple sur la base d’un projet qui aurait coûté 50 000 euros par client :

50 000 Euros / 50 Clients = 1000 Euros par client

Soit une économie de 49 000 euros par client soit 2 450 000 Euros d’économie en tout. Les entrepreneurs bancaires ont donc tout intérêt a se regrouper.

La structure de la société

FreePay Inc est une Société de Services en Logiciels Libres (SS2L) spécialisé dans le domaine de la finance et de la bancassurance libre. Elle fait du conseil, de l’intégration de banque en ligne, et développe un progiciel bancaire à partir des services informatiques qu’elle fournit à ses clients.

La stratégie de l’entreprise consiste à développer une intégration horizontale, verticale et transversale du produit dans ses différents aspects (marketing, finance, organisation, informatique).

La vente de service : Le FreePay Community Process (FCP)

  1. Demande d’un service de la part d’un client

  2. Étude de faisabilité / Prix

  3. Négociation et Paiement du client

  4. Réalisation de la prestation

Conclusion

Les banques doivent s’adapter à l’évolution du marché si elles veulent rester compétitive. Les logiciels libres permettent aux banques de réduire leur TCO tout plaçant suffisamment dans l’innovation. Le marché actuel représente 617 milliards d’euros ce qui est une opportunité pour les capital-risqueurs.

La législation européenne est très favorable à la venue de nouveaux acteurs bancaire pour peu qu’il suivent la réglementation en vigueur. De plus, le marché du commerce en ligne augmente exponentiellement depuis quelques années maintenant.

Nous avons vu qu’un tel système est possible techniquement (au vu de la démonstration en ligne) car reposant sur les standards de la banque / finance (ISO / TR / IEC / ECBS) et protégé par le code de la propriété intellectuelle.

De même, la phase d’amorçage coûte dans les 30 000 euros. Cela serait réalisé dans une courte période de temps pour peu que suffisamment de personnes s’y investissent. Cela peut être un investissement en termes compétences ou en apports de capitaux. Ceux qui le veulent, peuvent aussi regarder l’annexe sur la création d’entreprise.

Il fonctionnerait ainsi de la même façon, voir mieux, que progiciels bancaires existants tout en étant moins cher et tout en assurant la compatibilité avec les anciens systèmes.