Les étapes du processus de paiement pour un développeur PayPal Express Checkout

SandboxExpressCheckoutFlow
Le diagramme des traitements des processus marchands du côté de l’institution financière a été copié dans une image jointe au logiciel. « Express Checkout flow.png » (« PayPal Sandbox User Guide » (en anglais) p41 :  « Testing PayPal NVP APIs ») version 2.3

C’est PayPal Express Checkout Name-Value Pair (NVP) API en cURL qui est utilisé.
Basiquement, il y a 3 fonctions (mis dans des fichiers du même nom) :
– SetExpressCheckout : Définir les informations pour le paiement
– GetExpressCheckout : Obtenir des informations sur l’acheteur
– DoExpressCheckoutPayment : Exécute le paiement et Obtenir confirmation de l’exécution du paiement

1. L’acheteur séléctionne une commande. Les informations du formulaire (montant + devise + langue) ainsi que les informations du vendeur (API_username, API_password, API_signature) sont injectés dans le SetExpressCheckout à destination de la plateforme de paiement (en cURL).

2. Le ACK du SetExpressCheckout est un succès ou un échec.

3. Si le ACK du SetExpressCheckout est un succès, l’acheteur est redirigé vers la plateforme de paiement (en spécifiant le Token du ACK dans l’url) via une redirection HTTP (JavaScript ou html). L’acheteur se logue et confirme sa commande. (L’acheteur paye sur le PSP)

4. L’acheteur est ensuite redirigé (grâce à une adresse de retour fourni dans le SetExpressCheckout) sur la plateforme de ecommerce. L’ url fournit par le PSP contient un token et le PayerID.

5. Le token peut servir à récupérer les informations de la transactions définie dans le SetExpressCheckout. Les informations sont ensuite injecté dans un GetExpressCheckout,

6. puis dans un DoExpressCheckoutPayment.

7. Si le ACK du DoExpressCheckoutPayment est un succès, les traitements du vendeur s’exécutent.

Les status / états d’une transaction : 2 : validé (Processed), 1 : test , 0 : en attente (Pending), -1 : annulé (Cancelled), -2 : Échoué (Failed ), -3 : Retour arrière (Chargeback)
Optionnel :
– Enregistrer les réponses du PSP dans un table. (KISS : Keep it Simple, Stupid)
– Pour changer la devise : définir le CURRENCYCODE dans SetExpressCheckout et DoExpressCheckoutPayment
– La langue locale est définie uniquement dans le SetExpressCheckout. (AU,DE,FR,GB,IT,ES,JP,US accepté par le PSP)


Le script ne prend en compte que les champs obligatoires par mesure de simplification. Pour ce qui est des champs facultatifs : se référer à la documentation officielle.

source :

https://developer.paypal.com/

http://developer.paypal-portal.com/pdn/board?board.id=fr

http://sourceforge.net/projects/paybook/

http://paybook.sourceforge.net/

Conception d’un système de trading à partir de l’API de paiement Moneybookers et de FreePay

(version Beryl)

télécharger la brochure : http://give1get2.sourceforge.net/give1get2/support/docs/Give1Get2_Slides_FR.pdf

télécharger le texte : http://give1get2.sourceforge.net/give1get2/support/docs/Give1Get2_Guide_Dev_FR.pdf

Vision :

Créer un monde sans pauvreté pour permettre l’éducation, réduire les maladies et réduire la
mortalité.

Créer un monde sans pauvreté pour permettre l’éducation, réduire les maladies et réduire la mortalité.

Le changement de paradigme :

Le paradigme existant permet de résoudre certain problèmes, c’est pourquoi il a été accepté par le passé. Cependant, en ce moment, il ne répond pas à la demande de tout le monde. Donc, il y a eu une remise en question et une demande de changement.

J’ai étudié le marché des solutions existantes. N’étant pas satisfait (car si j’étais satisfait la problématique aurait été déjà résolue), j’ai donc décidé de créer ce logiciel. Car, à mon avis, il faut retirer progressivement les barrières qui entravent les échanges. (réf Traité instituant la Communauté européenne, 1957)

Le logiciel Give1Get2 est conçu pour construire un marché financier alternatif aux marchés financiers existants. Le logiciel est spécialisé dans la levée de fonds en ligne. Il facilite le libre échange dans l’économie internationale. Ce logiciel a été crée pour répondre au besoin de financement des agents économiques au niveau européen et mondial pour pouvoir financer, en autre chose, la recherche, l’éducation et l’innovation.

Principes & Qualités :

– Liberté, Citoyenneté, Responsabilité, Égalité, Solidarité,

– Ouvert, Réglementé, Prévisible, Non discriminatoire

Objectif :

Faire un projet pilote (fonctionnel, gratuit dans sa mise en place et dans son utilisation, légal, disponible (7/7j, 24/24h) et reposant sur une situation gagnant-gagnant) d’une plateforme de trading internationale (FSX) à partir d’une API de paiement (Moneybookers) et d’un progiciel financier libre (FreePay) pour permettre d’augmenter le solde des participants. (+1 Euro à chaque fois)

Réalisé : L’objectif principal a été réalisé.

Le logiciel a été testé dans des conditions réelles avec des comptes personnels pour les 3 cas possibles d’achat (inférieur, égal et supérieur) : et dans chacun des cas, cela à fonctionné parfaitement.

Exemple simple : lorsqu’ 1 Euro est envoyé, 2 Euros sont reçus (facteur 2 : 1*2=2). La devise « Give 1. Get 2. » a été choisie en ce sens. Le montant de départ est choisi par l’utilisateur et il peut utiliser le système autant de fois qu’il veut. exemple : 1234 Euros envoyé -> 2468 Euros reçus.

Cible :

Cible Utilisateur : Ce logiciel est été mis en oeuvre en ciblant principalement les utilisateurs du PSP utilisé parlant français ou anglais et ayant un minimum de compétences en finance (Moneybookers enregistre 9 millions de clients, selon Moneybookers). L’objectif n’étant pas de ce limiter à cette catégorie mais de pouvoir toucher le plus grand nombre d’ utilisateurs.

Cible Développeur : Les personnes ciblé pour le téléchargement et l’installation du logiciel sont les programmeurs (développeur web de préférence) et/ou entreprises voulant mettre en place une plateforme de trading.

La plateforme ne prend pas de pourcentage sur les fonds qu’elle lève. En ce sens, une organisation qui l’utiliserait pourrait être du type organisation à but non lucratif.

Les stratégies pour faire du business

Il existe 3 stratégies possibles pour 2 personnes : Perdre, pas de deal ou gagner. (soit 9 combinaisons en tout)

Cas pratique : Je ne veux pas perdre d’argent (destruction d’argent) Je ne veux pas perdre d’argent pour que quelqu’un en gagne. (un vol d’argent) Je veux changer. Je ne veux pas gagner d’argent pour que quelqu’un en perde. (un vol d’argent) Je ne veux pas gagner d’argent tout seul. (faux billet) Je veux gagner de l’argent et que quelqu’un d’autre en gagne aussi.

La seule solution qui me semble réalisable est donc : la stratégie gagnant-gagnant.

Business Model d’une plateforme de Trading en ligne avec une stratégie Gagnant-Gagnant :

5 parties : Fournisseur, Consommateur, Concurrent, Partenaire et Soi-même.

Fournisseur :

– Les prestataires de services de paiement (PSP) ont un business model qui fonctionne par les commissions (partie fixe et variable) sur les transactions de leur clients (environ 2%). Pour que leur profit augmente, ils veulent augmenter leur volume de transactions et à ce que les clients envoient de plus grosse somme.

– Leur principaux partenaires sont les marchands et les plateforme de trading qui leur permet d’accroitre leur volume de transactions et les montants via les utilisateurs qui les utilisent. Ceci se fait par l’augmentation de leur nombre de clients qui est proportionnel à l’accès de leur système d’informations : l’API (Application Programming Interface) qui permet à quiconque d’automatiser les paiements.

– Leur fournisseurs sont une ou plusieurs banques. Les messages financiers sont géré électroniquement par la banque. Le PSP reçoit des confirmations via une API.

Consommateur :

– Les utilisateurs de l’internet veulent répondre à leur besoins. Les besoins de l’humanité sont récurrent (doivent être satisfait tout les jours). Ce besoin est soit un produit ou service, soit de l’argent. Les produits se trouvent chez les marchants en ligne (e-commerce). L’argent facilement gagné se trouve sur les plateforme de trading.

– Pour envoyer de l’argent, l’utilisateur à besoin d’un PSP. Et son PSP lui demande d’avoir un compte bancaire pour remplir son portefeuille électronique. Comparativement au PSP, l’internaute gagne plus par transaction si le profit est à sa valeur par défaut (maximum).

Concurrent, Partenaire et Soi-même :

– Le business model de la plateforme de trading est soit le même que celui du PSP (commissions par transactions), soit des frais d’entrée, soit des frais mensuels, soit des primes de parrainages (lien avec id) ou soit gratuit. (L’argent est gagné de la même manière que les utilisateurs.)

– Les fournisseurs des plateformes de trading sont les PSP avec leur API. (le logo est mis en évidence)

– Les utilisateurs consomment un service qui leur permet de déplacer de l’argent. La stratégie de déplacement de l’argent est définie soit par la plateforme de trading soit par les utilisateurs eux même. (dépend de la politique interne de la plateforme de trading)

– La plateforme de trading est une couche logiciel au dessus du PSP. La conception et l’évolution de ce produit informatique peut être en partie externalisé auprès d’une ou plusieurs personnes qui s’occupe d’un logiciel libre de plateforme de trading ce qui permettrait de réduire les coûts et le temps de développement.

Revenus

Le lien vers le programme de parrainage est ici : http://www.moneybookers.com/app/referral.pl

Il y a plus de 9 millions de client qui utilisent Moneybookers (selon Moneybookers). La population cible visé est majoritairement celle déjà inscrite. L’affilié ne peux prendre de commissions sur des personnes déjà inscrite. (qu’il n’a pas lui même parrainé, sous-entendu)

Pour les personnes qui ne sont pas encore inscrite, elles peuvent s’inscrire directement à l’url http://moneybookers.com/ : dans ce cas, l’affilié ne prend pas de commission.

Soit, dernière option, s’inscrire avec le lien de l’affilié (l’url fourni en bas de page sur le script), dans ce cas, l’affilié recevra des commissions sur ce que gagne le PSP (à hauteur de 30% et, limité à 100 Euros maximum) Ce n’est pas un surcoût (répartition 30-70). C’est donc complètement transparent pour l’utilisateur final.

Cette mesure incitative, je l’ai mis en place pour augmenter le nombre de mes partenaires sur ce projet. Je pensai que cela était légitime afin de pouvoir payer les couts fixes (nom de domaine) et les coûts variable de fonctionnement (bande passante, base de donnée) de chacun des sites partenaires.

De plus, chaque utilisateur à aussi cette possibilité de parrainer d’autres utilisateurs en faisant ses demandes de paiements. Je trouve que c’est une preuve d’équité.

Interopérabilité : Comment savoir si l’API du porte monnaie électronique d’une institution financière est compatible avec le FSX de FreePay ?

Sur l’institution financière :

1. Il faut pouvoir créer un compte.

2. Approvisionnement : L’utilisateur peut approvisionner son compte avec différents moyens de paiement (chèque, carte de crédit, transfert bancaire etc) et en retirer.

3. Il faut avoir un minimum de fonds sur son compte (solde à minimum 1 euros). (il faut aussi prendre en compte les frais de l’institution financière)

Facultatif (mais vivement recommandé) : Agrément financier : L’institution financière doit être agréé par au moins une autorité de régulation.

Séparation des tests et du réel : Les transferts entre client normaux et client de test sont interdits.

Sur le FSX :

1. Il faut pouvoir passer un ordre sur le FSX et arriver sur la plateforme de paiement. (POST ou GET)

2. B2B, B2C,C2B & C2C : Il faut que les paiements fonctionne dans les 2 sens (marchand-marchand tout en étant accessible client-client, marchand-client et client-marchand), brièvement permettre le P2P. Le droit de rétractation dépend du status des personnes effectuant les transactions ensemble et, cela est défini sur le site du PSP.

2 bis. (optionnel : mais c’est mieux de le faire) Il faut pouvoir activer l’automatisation des processus. (en xml)

3. XML : Il faut que le site source (marchand / FSX) puisse obtenir une trace de la transaction de la part de la plateforme de paiement. (xml envoyé et enregistrable dans la base de donnée dans des tables sql)

Existant : Qu’est-ce que Moneybookers?


– Moneybookers est un service paiement en ligne sécurisé qui vous permet d’envoyer et de recevoir de l’argent instantanément à partir d’une adresse e-mail. L’ouverture de compte est gratuite ; et le chargement et le retrait d’argent se fait par l’intermédiaire d’une carte de crédit (Visa, mastercard, diners, american express, jcb, delta / visa debit et visa electron) ou par virement bancaire.

– Moneybookers est traduit en 12 langues différentes. (Anglais, Allemand, Français, Espagnol, Italien, Polonais, Grec moderne, Roumain, Russe, Turc, Chinois, Tchèque)

– Les frais de transaction sont peu élevé et les transactions peuvent être consultées dans l’historique du compte à tout moment.

– Moneybookers est une institution émettrice de monnaie électronique qui permet au marchands (société ou négociant) d’accepter les paiements en ligne de clients du monde entier sans aucun frais d’installation, ni de frais mensuels. (en anglais : Payment Service Provider)

– Moneybookers Ltd est une société enregistrée au registre du Commerce de l’Angleterre et du Pays de Galles sous le No 4260907. Siège social: Welken House, 10-11 Charterhouse Square, London, EC1M 6EH. Elle est agréé en vertu de la législation du Royaume-Uni et de l’Union Européenne et régi par la Financial Services Authority (FSA), l’Autorité des services financiers au Royaume-Uni.

Source :

Pourquoi une relation avec un PSP :

La division des rôles : Le logiciel peut être vu comme un plugin qui interagit avec le logiciel principal (l’institution financière) pour lui apporter une nouvelle fonctionnalité. Le logiciel est un système ouvert qui envoie des informations à l’intérieur (historique) et à l’extérieur (ordre).
– L’institution financière transforme les capitaux entrant en monnaie électronique, fais les paiements et fais les conversion de chèques.

– Le logiciel permet de passer des ordres de paiement, d’échanger des ordres de paiement et permet de faire des demandes de paiement.

Dépendance : Le logiciel va vers la simplicité puisque, par rapport à la version précédente (FreePay), il soustraite les processus nécessaire à la gestion de l’argent. Ce logiciel permet d’économiser le coût du capital initial (1 million d’ Euros) nécessaire à la création d’une institution financière émettrice de monnaie électronique (en : E-money issuer) au sein de l’ Union Européenne. (ref : Article 4 paragraphe 1 de la Directive 2000 46 CE).

Indépendance : Chaque organisation qui met en place le logiciel Give1Get2 est autonome des autres organisations. Elle n’est dépendante que de l’institution financière qui permet de faire les paiements (Relation 1 à plusieurs).


Qu’est-ce que « Give1Get2 »?


Le système de trading repose sur une stratégie gagnant-gagnant. La plateforme de trading est un lieu de confrontation de l’offre de titres financiers et de la demande d’argent en application de la pensée du laissez-faire économique. Il n’y a pas de marchandises échangé sur le système. C’est un jeu à somme nulle du point de vue de la plateforme de paiement mais pas du système de trading (1 euro titrisé symbolique émit pour l’amorçage, échange +1 +1 pour chaque partie à chaque transaction). C’est un cercle vertueux. Il n’y a pas de droit d’entrée. C’est un système de personne à personne (P2P) complémentaire qui permet aux utilisateurs de passer des ordres sur une plateforme de paiement. Cela a été conçu de tel manière qu’il n’y a pas de risque de variation inverse. Puisqu’il n’y a pas d’ordre de vente, il ne peut pas y avoir de crack boursier. Tout les utilisateurs du système peuvent s’enrichir, mais pas au même moment. L’utilisateur peut donc devenir, selon ce qu’il en fait, un trader. (fr : Opérateur de marché)

Le profit est aussi paramétrable (de 0 à 100 %, exemple : 25 euros réel deviennent à 100% -> 50 euros titrisés). Cela permet à l’utilisateur de spéculer ou de ne pas le faire. Ce qui permet à l’utilisateur de transformer ses capitaux en plus de capitaux représenté par les titres. (Et ensuite transformer ses titres en capitaux par l’acte de vente, exemple : 50 euros titrisés -> 50 euros réel). Finalement : 25 euros réel -> 50 euros réel. Ce qu’il fallait démontrer.

Explication Économique : Le logiciel n’a pas pour but de créer de l’inflation.

D’après ce que je sais, il existe deux types d’inflation :

– L’inflation du niveau des prix : Une hausse des prix des biens et des services durant une période de temps donné. (source : Wikipédia) Le revenu augmente moins vite que la hausse des prix des produits. → diminution du pouvoir d’achat. Ce qui est problématique. Or, ce que propose Give1Get2, c’est d’augmenter le revenu des acteurs du système, d’où une augmentation du pouvoir d’achat. Il n’y a pas de services en vente sur la plateforme et l’utilisation y est gratuite. Les « produits » financiers en vente sont des demandes de paiements. Le prix d’achat est fixé par les acheteurs eux-même. S’ils décident d’acheter plus cher, c’est pour gagner plus.

– L’inflation de la masse monétaire : Lorsque la masse monétaire mondiale subit une création monétaire. L’argent en circulation augmente via les taux d’intérêts. Or, le logiciel Give1Get2 n’a pas vocation d’augmenter la masse monétaire ni de la diminuer. Il n’y a pas de taux d’intérêts non plus dans ce système. Car c’est uniquement du ressort des banques.

Le logiciel permet la circulation de la monnaie entre les acteurs économiques.

Explication financière :

Prenons cet l’exemple : Bob veut envoyer 10 centimes d’EUR à Alice via Moneybookers.

Alice à un solde de 10.82 EUR. Bob a un solde de 78.19 EUR. Bob envoi 10 centimes à Alice. Le solde de Bob devient 78.09 EUR. Le solde de Alice passe à 10.92 EUR. C’est sans compter les frais variables (0.01) et les frais fixes (0.29). En fin de compte, le solde de Alice est de 10.62 EUR à la fin de l’opération.

Personnes Alice Bob
Temps Avant Après Avant Après
Solde 10.82 EUR 10.62 EUR 78.19 EUR 78.09 EUR

On constate que le gain (10 centimes) est inférieur à la perte (30 centimes). Bob a été chargé négativement (-0.10 EUR, ce qui est normal). Alice a été aussi chargé négativement (total de -0.20 EUR). C’est donc une situation perdant-perdant.

Pour obtenir une situation perdant-gagnant, on peut mettre en place un quota d’argent minimum automatique à définir dans les paramètres pour tout achat via l’API. Testons : Bob (solde : 78.09 EUR), après mûres réflexion, veut envoyer 3 Euros à Alice (solde : 8.52 EUR) via Moneybookers. Bob a maintenant un solde de 75.09 EUR. Alice a un solde d’environ 11.12 EUR (8.52 +3.00 -0.10 -0.29).

Personnes Alice Bob
Temps Avant Après Avant Après
Solde 8.52 EUR 11.12 EUR 78.09 EUR 75.09 EUR

Que constatons nous ? Bob a été chargé négativement (-3.00 EUR) tandis que Alice a été chargé positivement (différence de +2.60 EUR). Ce qui est une situation perdant-gagnant.

Le processus marchand fonctionne de la manière suivante : Le vendeur échange un bien contre l’argent de l’acheteur. Le vendeur du bien ne le fait que contre une somme supérieur à ce que cela lui à coûté en premier lieu auprès de ces fournisseurs.

De la même façon, lorsque que une personne A fait une demande de paiement et reçoit l’argent d’une personne B. Cela agit comme un mécanisme de compensation qui permet à B placer à son tour une demande de paiement pour un prix à une valeur égale ou supérieur à ce que cela lui a coûté auprès de son prédécesseur.

Traditionnellement, c’est une relation à 2 personnes uniquement. Ce qui pose problème si l’une des 2 partie ne peut prêter ou rembourser. ( Relation 1 à 1) Avec ce logiciel de marché alternatif, il y a de multiples offreurs et de multiples demandeurs. (Relation de plusieurs à plusieurs) Donc, cela diminue le risque (relation 1 à plusieurs dans les 2 sens) et il y a plus de possibilités de succès.

Comme je viens de le démontrer, nous pouvons transformer une stratégie perdant gagnant en une stratégie gagnant gagnant. C’est ce que nous allons faire maintenant.

Télécharger

Le logiciel se base sur une politique de transparence et de développement durable. La licence choisie est la GNU GPL. C’est un logiciel libre. De ce fait, il a été mis à disposition gratuitement sur SourceForge.netpour être téléchargé et installé sur des serveurs en ligne.

* Télécharger directement la solution complète (la plus à jour) :

http://give1get2.com/give1get2.zip
http://give1get2.com/give1get2.7z (nécessite le logiciel 7zip)

* Miroir de téléchargement complet (version stable) :

http://sourceforge.net/projects/give1get2/

* [Moneybookers] Démonstration en action :

http://www.moneybookers.com/app/help.pl?s=m_gateway_demo
https://www.moneybookers.com/app/test_payment.pl

* [Moneybookers] La documentation en libre téléchargement:

http://www.moneybookers.com/merchant/fr/moneybookers_gateway_manual.pdf
http://www.moneybookers.com/merchant/fr/automated_payments_interface_manual.pdf (pas requis)

Installation du logiciel

1. Acheter un nom de domaine (maplateformedetradingdexemple.com) chez un Registrar.

2. Obtenir un hébergement contenant un espace suffisant (environ : 50 Mo) et une bande passante suffisante (plusieurs Giga) en fonction du nombre d’utilisateur prévu. (et POP3, FTP et MySQL inclus)

3. Dé-compacter les fichiers précédemment téléchargé. (procédure ci-dessus)

4. Modifier le fichier ‘scripts sql tables & champs.sql’ : à la ligne 85, remplacer l’email (alice@give1get2.com) et l’ id marchand (6173206) par votre email et votre id marchand obtenu auprès de moneybookers à l’ouverture de votre compte. Remplacer aussi le courriel par votre courriel à la ligne 108.

5. Créer une base de données « mocha » (sans les doubles quotes) dans votre panneau d’administration (généralement à l’URL http://maplateformedetradingdexemple.com/phpmyadmin/)

Créer un utilisateur et lui donner les droits d’accès à la base de données en lecture et écriture. (si ce n’est pas déjà fait automatiquement).

6. Cliquer sur l’onglet SQL, copier-coller les données du fichier ‘scripts sql tables & champs.sql’ dans le champ de saisie et cliquer sur Exécuter. Aucun message d’erreur ne doit s’afficher.

7. Modifier les valeurs par défaut par celles qui ont été fournies par l’hébergeur dans le fichier ‘params.php’ (sans les simple quotes) ligne 31 (hôte), ligne 32 (utilisateur), ligne 33 (mot de passe), ligne 34 (base de données)

8. Sur le serveur web, copier-coller la source modifié (avec les parametres par défauts) en 7z et zip. Créer aussi un dossier /give1get2/ . Importer les fichiers via un FTP (ex fireFTP, une extension de Firefox) avec les paramètres de l’hébergeur (‘params.php’) dans le répertoire précédemment crée.

9. Lancer dans le navigateur http://maplateformedetradingdexemple.com/give1get2/. La page d’index doit s’afficher sans message d’erreurs. Les sources (7z et zip) doivent pouvoir être téléchargeable à partir d’un onglet ‘documentation’ ou ‘téléchargement’.

10. Référencer votre site sur les moteurs de recherche (ex : http://www.google.com/addurl/?continue=/addurl)

11. Générer un sitemap XML, et le mettre à la racine (ex : http://www.xml-sitemaps.com/ )

12. Optimiser votre site (ex: avec Google Webmaster Tools )

Pré-requis :

Le seul matériel nécessaire est un pc, un système d’exploitation, une connexion à Internet et un navigateur web.

Multi-Plateforme : fonctionne sous Windows ou Linux avec Internet Explorer ou Firefox.

La formation est gratuite. Elle constitue la documentation.

Conçu en XHTML, CSS, JavaScript, PHP et SQL (CRUD). Nécessite un MySQL, phpMyAdmin, POP3 pour les mails, FTP et un navigateur web. A été testé et fonctionne avec Apache (>= 1.3.33), Mysql (>= 4.1.9), PHP (>= 4.3.10), PhpMyAdmin(>= 2.6.1).

L’architecture est en trois tiers (donnée, business logic et présentation). L’architecture se base sur le projet FreePay : http://freepay.fr/freepay.zip Pour approfondir, la documentation de freepay est à votre disposition. http://freepay.fr/freepay/nav_telechargement.php?option=documentation

Pour les non francophone ou les non anglophones, il existe des outils de traductions comme Google translate pour lire des documents dans votre langue.

Le diagramme des traitements des processus marchands du côté de l’institution financière a été copié dans une image jointe au logiciel. « moneybookers_payment_gateway_api_details_interaction_diagram.png »

Ce script se base également sur la documentation de l’API « Moneybookers Payment Gateway – Merchant Integration Manual » (en anglais)- Version: <6.5>. http://www.moneybookers.com/merchant/fr/moneybookers_gateway_manual.pdf (43 pages) Une nouvelle version est peut être sortie à l’heure ou vous lisez ces lignes, ce qui pourrait poser des problèmes.

Le script ne prend en compte que les champs obligatoires par mesure de simplification. Pour ce qui est des champs facultatifs : se référer à la documentation officielle.

Le code ISIN est de nouveau utilisé dans ce logiciel (ISO 6166). La codification mis en place est le ZZ afin de faire une distinction claire et qu’il n’y ai aucune ambiguïté avec les pays ou territoires ayant des valeurs mobilières, selon la norme ISO 3166-1.

Les status d’une transaction (états) :

2 : validé (Processed)
1 : test //status ajouté, pas présent dans la documentation
0 : en attente (Pending)
-1 : annulé (Cancelled)
-2 : Échoué (Failed )
-3 : Retour arrière (Chargeback)

Les Étapes du développement (le Comment)

Vision : Le module de paiement de FreePay et tout les modules de niveau inférieur sont remplacés par l’API externe de Moneybookers (institution financière validé par la FSA).

Conséquences : Le support du module de paiement est donc externalisé. Le nom du projet ne correspond plus. Les balises Méta ne correspondent plus. Les menus ne correspondent plus.

1. Copie de Freepay. Tout les modules non nécessaires sont retirés sauf le FSX. (+ vérifier que ça marche)

2. Implémentation de l’API Moneybookers (+ vérifier que ça marche)

3. Mashup des deux (Application composite)
création de l’interface spécifique
création des processus spécifique
création de la base de donnée spécifique (+ vérifier que ça marche via un simulateur de moteur de paiement)

4. Re-factorisation : Optimisation de la Mashup (+ vérifier que ça marche)

5. Publication sur internet

L’architecture

Le code source est en français. Les commentaires du code source sont en français aussi. Sauf pour les standards financiers qui sont en anglais. Le projet s’oriente vers une internationalisation (I18N).

Toutes les images sont dans un dossier spécifique (/images).

Tout les CSS (Feuilles de style en cascade) sont dans un dossier spécifique (/style).

Tout ce qui a attrait au support utilisateur est dans le dossier /support.

La documentation est dans le dossier /support/docs.

Tout ce qui concerne l’internationalisation est dans le dossier nommé « services/i18n ».

La programmation est de type procédurale : les méthodes sont appelés dans un ordre spécifique.

La partie visible est composé de la page principale, de l’historique et de la documentation.

L’existence d’une demande de paiement peut se vérifier via l’historique.

La limitation d’accès se fait grâce aux sessions pour la partie caché (processus de paiement).

La disponibilité d’une demande de paiement peut se vérifier en appliquant le filtre avec le numéro ISIN en paramètre.

Comme c’est un projet web, l’interface homme-machine est basé sur une architecture est de type client/serveur. Et, le serveur à une architecture en 3 tiers (base de données, traitements, présentation).

La base de donnée

Elle est composée de 4 tables par institution financière : (« scripts sql tables & champs.sql » présent à la racine)

-2 pour les titres (déjà existante dans le FSX) :

– liste des transactions passés effectués sur des titres.
– liste des titres en vente dans leur états actuels.

– 2 pour les ordres de paiements (l’avant et l’après) :

– liste des ordres passés sur les titres du FSX.
– liste des ordres de paiements renvoyé par l’api.

Elle est composé de 2 insertions dans ces tables correspondant à un titre et de son historique.

Les étapes du processus de paiement pour un utilisateur dans le FSX

L’utilisateur a crée et approvisionné un compte Moneybookers. (https://www.moneybookers.com/app/register.pl )

1. Le lien vers la page de connexion est sur la première page en haut à droite. La connexion se fait avec l’Email et l’identifiant numérique (Customer ID) associé au compte Moneybookers.
(Visible en dessous du menu dans l’interface Moneybookers). (Pas de mot de passe, il est gérée par Moneybookers lors du paiement pour éviter une récupération externe)

2. L’utilisateur va sur la page d’achat et sélectionne un numero ISIN (définit aussi la valeur et le profit si besoin).

L’ordre d’achat est sauvegardé et accessible via le menu du même nom. Il récapitule l’état de la transaction (En cours / En attente, Échoue / Annulé ou Fini).

3. Selon les paramètres (« params.php ») défini par l’administrateur, l’utilisateur est redirigé soit :
– sur le serveur de test (mb_test_payment.php) et valide
– soit sur Moneybookers (https://www.moneybookers.com/app/payment.pl)

La redirection se fait grâce à un GET (passage de tout les paramètres obligatoires). La solution qui a été choisie est une redirection javascript. (<script type=’text/javascript’>Code</script>)

4. Si la personne a donnée les bons paramètres, elle entre juste son mot de passe. Sinon, elle crée son compte.

5. Le paiement est annulé ou validé par l’utilisateur. Moneybookers transfert l’argent entre les parties. Moneybookers envoie un code de retour « HTTP 200 » en POST uniquement à la status_url précédement envoyé (« paiement/pay/status_report.php ») et redirige l’utilisateur vers la plateforme de FSX défini précédement.

– Le logiciel utilise un couplage par données (passage de paramètres).

if( isset($_POST[‘mb_transaction_id’]) ) { $mb_transaction_id = $_POST[‘mb_transaction_id’]; }

– Les données sont ensuite filtrées par mesure de sécurité. (« status_report_filtre.php ») Il vérifie que tout les champs sont renseignés, qu’ils ont le bon type, la bonne longueur et les bonnes données (technique de filtrage par liste blanche).

exemple : vérification que l’origine des données (IP) provient bien de l’institution financière pour éviter toute tentative frauduleuse d’envoi d’argent fictif. (attaque de type « man in the middle »)

Le montant renvoyé par moneybookers peut être inférieur au montant indiqué dans la réservation (du fait de la prise de commission (fixe et variable) de la plateforme de paiement ou des paramètres GET qui peuvent être modifié en cours de route par l’internaute). Le transfert de possession des titres se fait compte tenu des nouveaux chiffres envoyé par l’API uniquement afin d’éviter ces problèmes.

6. Ensuite, si tout les critères sont validés alors les données sont stockés dans la table de l’api. (+ date actuelle) Et affichable au besoin par le fichier ‘pay_liste.php’ que le client retrouve sous ses yeux lorsqu’il retourne sur Give1Get2.

7. continuation de processus de transfert de possession (la transaction en attente « pending » passe à « done ») grâce au numéro de transaction récupéré par Moneybookers précédemment envoyé)

A chaque vente de titre, l’argent est sauvegardé dans les comptes de l’institution financière. En cas de crise (comme une indisponibilité de la plateforme de titre), l’argent, lui, est toujours disponible.

8. L’utilisateur peut consulter ses titres et rafraichir la page (F5). Il peut aussi utiliser l’emailling pour accélérer le processus de paiement, puis :
– Le vendeur reçoit une notification par email du FSX l’informant de la cession du titre et de la reception de l’argent. (+ emetteur + argent + devise)
– L’acheteur reçoit une notification par email de l’institution financière. (+ argent + devise + indicatif produit)

9. Déconnexion de la plateforme de trading (FSX)

Les vues :

L’architecture des vues est commune à FreePay (header et footer en commun sur toutes les pages).

Le Menu : (Accueil, Historique des titres, Acheter un titre, Ordre Achat (la confirmation est visible si l’ordre a réussi), Consulter vos titres, Contactez-nous, Documentation)

– L’utilisateur peut voir l’historique des transactions.
– L’utilisateur peut acheter une demande ISIN.
– L’utilisateur peut consulter la liste de ses ordres d’achat et, cliquer sur le numéro de la transaction pour voir les détails de la transaction (si celle-ci a réussi).
– L’utilisateur peut consulter ses titres.

Respect des standards du W3C : a été validé XHTML 1.0 transitionnel et CSS 2.0 sous Mozilla Firefox, Internet Explorer et Safari.

Les contrôleurs :

Ce sont les même que ceux de FreePay. PHP et Javascript pour le côté serveur et client respectivement.

Les transactions qui n’aboutissent pas au bout d’1 journée sont classé comme ayant échoué. (status à -2).

Sécurité

L’application a été conçu et testé avec CAL9000 (OWASP) pour être protégé contre les attaques de type Cross Site Scripting (XSS). Dans le Top 10 des vulnérabilités 2007 selon l’Open Web Application Security Project (OWASP).

Test et Confirmation :

Les comptes de tests sont ouvert à l’initiative des clients. Des fonds de test sont donné gratuitement par Moneybookers.

Passer la séries de tests suivantes : Nécessite minimum 2 utilisateurs. (Alice et Bob) Préparatif : Noter la situation financière existante des utilisateurs : « Solde en Euro » et « Solde ISIN » pour chacun d’eux.

Effectuer un achat et pour les 3 cas (inférieur, égal, supérieur), vérifier :
– Le solde de l’acheteur (Alice) a t-il diminué ?
– La valeur du titre de l’acheteur (Alice) a t-elle augmenté ?
– Le solde du récepteur (Bob) a t-il augmenté ?
– Les titres du récepteur (Bob) ont-ils diminué ?
– Le récepteur (Bob) a t-il été notifié par email ?

Prochain développement de la plateforme : FaceBook + Paypal

Légalité

Je pense que mon système est légal car j’ai fais des recherches en ce sens avant de le mettre à disposition de tous. Je considère qu’il va dans le sens des principes de l’union européenne. (http://europa.eu/scadplus/european_convention/objectives_fr.htm) . J’ai joint dans le dossier « support » > « docs » les documents de référence concernant le contexte législatif, juridique et réglementaire qui pourrait s’y rapporter.

Le site internet de la commission européenne est très instructif sur cette question. ( http://ec.europa.eu/internal_market/top_layer/index_24_fr.htm ) Rubrique : Commission européenne >Marché Intérieur > Le marché unique des services > Services financiers. Je ne suis pas complètement d’accord sur le choix de cette rubrique puisque la plateforme de trading offre un service gratuit (sans contrepartie) et ne gère pas d’argent (uniquement la confirmation que l’argent a été transféré).

Fonds d’investissements > Investissements alternatifs : il existe un Projet de Directive relative aux gérants de fonds dits ‹ alternatifs ›. Ce projet de directive peut encore être changé, et, la version finale ne va pas forcément s’appliquer à ce cas très précis. http://ec.europa.eu/internal_market/investment/alternative_investments_fr.htm

Services de paiement > Monnaie électronique : La plateforme de trading ne crée pas de monnaie. Donc, cela ne concerne que le PSP Moneybookers. http://ec.europa.eu/internal_market/payments/emoney/index_fr.htm

Services de paiement > e-Facturation : c’est PSP Moneybookers qui gère la facturation (il peut le désactiver) Uniquement une copie est gardé à des fins d’archive par la plateforme de trading (ou rien suivant le paramétrage) http://ec.europa.eu/internal_market/payments/einvoicing/index_fr.htm

Conglomérats financiers : Selon la taille du système de trading Give1Get2 et sa structure, il peut entrer ou ne pas entrer dans cette catégorie. C’est au choix du/des entrepreneurs selon les opportunités de fusion / acquisitions. http://ec.europa.eu/internal_market/financial-conglomerates/index_fr.htm

Commerce électronique : Cela dépend de ce qui est fait par les clients en contrepartie de l’argent envoyé. http://ec.europa.eu/internal_market/e-commerce/directive_fr.htm

Copyright :

Mon droit d’auteur est garanti par la Licence publique générale GNU. http://www.gnu.org/licenses/gpl.html

Mes créations sont protégés au niveau Européen par la Directive 91/250/CEE du Conseil, du 14 mai 1991, concernant la protection juridique des programmes d’ordinateur. (http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CELEX:31991L0250:FR:HTML )

Mes créations sont protégés internationalement par la Convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques (géré actuellement par l’ Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), organisme spécialisé au sein de l’ONU). (source : http://www.wipo.int/treaties/fr/ip/berne/trtdocs_wo001.html )

Clause de non responsabilité :

L’utilisation de la présente application à valeur d’acceptation de la clause de non responsabilité suivante : L’auteur décline toute responsabilité quant aux conséquences pouvant résulter de l’utilisation de cette application.

Script fourni sans aucune garantie.

L’ Organisation

L’ Indefinite Lifespan Foundation est un organisation de bienfaisance à but non lucratif, non gouvernementale, dédié à réduire la mortalité humaine, à encourager l’extension de l’espérance de vie et la recherche du bonheur en utilisant principalement la médecine préventive, la santé publique et l’informatique. (En phase de création)

Contact :

En tant que développeur, je recherche toujours un moyen de produire plus et à moindre coût. Ma motivation se base sur le fait que le logiciel fonctionne et qu’il est utile. Bien que je sois d’accord pour dire que le type de communication le plus efficient est le face à face, je reconnais aussi que je ne suis pas toujours disponible et donc, j’ai mis en place une documentation écrite. Dans le cadre d’une politique de transparence, j’ai aussi mis mon cv en pièce jointe afin de pouvoir renseigner qui le souhaite sur mon identité et mes aptitudes professionnelles (ce qui laisse plusieurs moyens de me contacter). Sa lecture est facultative.

De plus, je suis ouvert à toute suggestion permettant d’améliorer le logiciel. S’il y a des bogues, pour que je puisse les corriger, il faut que j’en ai connaissance précise. D’après mon expérience, pour améliorer un système, il faut que les utilisateurs puissent contacter l’auteur car l’amélioration de la plateforme se fait grâce aux boucles de rétroaction positive à l’initiative des utilisateurs. Ce retour servira de base à l’architecture de la prochaine version (qui contiendra l’existant + les corrections).

Enfin, si vous avez un problème de nature financière relatif à votre compte Moneybookers, vous pouvez vous adresser au service clientèle de Moneybookers.

Logiciel Libre de Trading en Ligne étape par étape

ModeleConceptuelTraitementMCT

Modele Conceptuel Traitement (MCT)

0. Le système de trading repose sur une stratégie gagnant-gagnant. La plateforme de trading est un lieu de confrontation de l’offre de titres financiers et de la demande d’argent en application de la pensée du laissez-faire économique. C’est un jeu à somme nulle du point de vue de la plateforme de paiement mais pas du système de trading (1 euro titrisé symbolique émit pour l’amorçage, échange +1 +1 pour chaque partie à chaque transaction). C’est un cercle vertueux. C’est un système de personne à personne (P2P) complémentaire qui permet aux utilisateurs de passer des ordres sur une plateforme de paiement. Cela a été conçu de tel manière qu’il n’y a pas de risque de variation inverse. Puisqu’il n’y a pas d’ordre de vente, il ne peut y avoir de crack boursier. Tout les utilisateurs du système peuvent s’enrichir, mais pas au même moment. L’utilisateur peut donc devenir, selon ce qu’il en fait, un trader. (fr : Opérateur de marché)

1. L’utilisateur se connecte sur la plateforme de Trading. (L’inscription est gratuite) Chaque utilisateur possède les même fonctionnalitées que les autres à sa disposition. Il n’y a pas de privilèges.

2. L’utilisateur peut rechercher un titre grâce à son prix (inférieur, égal ou inférieur à une certaine somme). Les classer par utilisateur (uniquement les amis par exemple). Ou par le numéro ISIN.

3. L’utilisateur est libre d’acheter des titres à n’importe quel moment de la journée. (7/7j, 24/24h)

4. Une liste des ISIN en vente s’affiche. Pour chaque ISIN on a son propriétaire, sa valeur, sa devise.

5. Le montant initial est paramétrable : Inférieur, égal ou supérieur à celui voulu par le vendeur.

fsx_inferieur

fsx_inferieur

Dans le cas inférieur, le vendeur récupère l’argent et le montant ISIN non vendu. (Le montant ISIN non vendu, peut quand même être vendu par la suite.)

fsx_egal

fsx_egal

Dans le cas égal, le vendeur obtient l’équivalence d’argent demandé totale.

fsx_superieur

fsx_superieur

Dans le cas supérieur, le vendeur obtient plus que ses espérances et l’acheteur fera plus de profit par la suite.

Dans tout les cas, l’acheteur à tout intérêt à faire jouer son réseau pour obtenir son argent au plus vite. (Un simple mail, à son initiative, expliquant pourquoi il à besoin de cet argent. Chaque utilisateur à sa propre vision des moyens qu’il lui est necesssaire pour atteindre le but qu’il s’est fixé. Ce peut être de se nourrir ou vouloir financer un projet innovant dans une perspective de développement durable, par exemple.)

6. Le profit est aussi paramètrable (de 0 à 100 %, exemple : 25 euros réel deviennent à 100% -> 50 euros titrisés). Cela permet à l’utilisateur de spéculer ou de ne pas le faire. Ce qui permet à l’utilisateur de transformer ses capitaux en plus de capitaux représenté par les titres. (Et ensuite transformer ses titres en capitaux par l’acte de vente, exemple : 50 euros titrisés -> 50 euros réel). D’où : 25 euros réel -> 50 euros réel. Ce qu’il fallait démontrer.

7. L’utilisateur peut selectionner 1 ou plusieurs titres dans son panier. Et valider sa commande.

8. Il peut les acheter seulement si le prix de chacun ne dépasse pas le montant restant du porte monnaie électronique (eWallet) au moment de la transaction. La transaction se fait dans la seconde (dépend du nombre de connexions simultanées).

9. Un titre est toujours en vente selon le principe du PAPS (Premier Arrivé, Premier Servi). Seul le nom du propriétaire change. C’est donc le droit de propriété qui est vendu entre utilisateurs.

10. Chaque utilisateur peut consulter ses titres acquis ou le solde de son porte monnaie électronique (eWallet) modifié.

11. L’utilisateur se déconnecte de la plateforme de Trading.

source : http://freepay.fr/freepay/support/docs/Presentation%20technique.pdf

altern : http://freepay.sourceforge.net/freepay/support/docs/Presentation%20technique.pdf

FreePay – Free Banking solution with SWIFT, Payment and ecommerce

FreePay is an online free banking solution (in beta) aiming to finance innovative projects and based on several components:

  • Open Formats and Standards
  • a Free Market (MIC Code)
  • a Free SWIFT (BIC Code)
  • a Free Banking System (IBAN Code)
  • a Free Payment Service Provider (FreePay PSP)
  • a Free Credit Card Validation (FreeCard)
  • an E-Commerce (FreeShop)
  • a Free Stock Exchange (FSX)

Available here

Download a brochure (.pdf) Image brochure PDF (.odp)

FreePay – Business Plan – Solution financière électronique sécurisé Libre

Free Xbox 360 Free PS3 Free Wii Official NBC G4TV Report (294 749 Vues)

http://www.youtube.com/watch?v=DFKYVE__Mug

Business Plan

Introduction

Sur le long terme, la problématique des banques consiste à garder leur avantage compétitif. Elles doivent modifier leur business plan : connaître les tendances du marché et se repositionner sur une niche. Cela concerne à la fois les banques centrales, les banques privées, les banques de détails et les banques d’investissements.

La problématique des éditeurs de logiciel consiste à concevoir de nouveaux produits et services tout en réduisant le coût total de possession (TCO), tout en augmentant son chiffre d’affaire, tout en restant abordable pour leur consommateurs .

On peut conceptualiser la création d’une banque en ligne en 3 processus distincts : l’administratif, le matériel et le logiciel. L’administratif se fait auprès des autorités de régulation en la matière. Le matériel s’achète auprès de fournisseurs de serveurs de stockage. Enfin, la partie logicielle, celle qui ici proposée, est vendu par des sociétés de services.

La législation européenne

Contexte : « Le maintien d’un niveau de frais plus élevé pour les paiements transfrontaliers que pour les paiements nationaux constitue un frein aux échanges transfrontaliers et donc un obstacle au bon fonctionnement du marché intérieur. »

Source : RÈGLEMENT (CE) No 2560/2001 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 19 décembre 2001 concernant les paiements transfrontaliers en euros

Directive sur le commerce électronique : Elle exonère de toute responsabilité les intermédiaires qui jouent un rôle passif en assurant le simple « transport » d’informations provenant de tiers. Elle limite également la responsabilité des prestataires de services pour d’autres activités intermédiaires, telles que le stockage d’informations.

Source : Directive 2000/31/CE du Parlement européen et du Conseil du 8 juin 2000 relative à certains aspects juridiques des services de la société de l’information, et notamment du commerce électronique, dans le marché intérieur («directive sur le commerce électronique»)

Paiements transfrontaliers en euros : «Tout établissement communique à chaque client qui en fait la demande son numéro international de compte bancaire (IBAN) ainsi que le code d’identification de banque (BIC). »

Source : Règlement (CE) n° 2560/2001 du Parlement européen et du Conseil du 19 décembre 2001 concernant les paiements transfrontaliers en euros

Plus d’informations sur le cadre européen des services financiers et bancaires.

Étude de marché

Le secteur étudié est celui de la Banque / Finance / Paiement en ligne. Il y a plus de 8000 banques dans le monde et un réseau de branches jusqu’à 10 fois supérieur.

Sergey Brin, fondateur de Google, a annoncé qu’il attribuerait une prime globale de 10 millions de dollars aux développeurs des meilleures applications dans le cadre de l’Android Developer Challenge. Parmis les 1700 projets envoyés, seulement 50 ont été retenu. Parmi ces projets finalistes, la plupart sont des mashups utilisant les API Google dont la très célèbre Google Maps API. FreePay est aussi une application web hybride.

Un internaute sur deux consomme sur Internet en France. Les deux principaux facteurs d’achat sont le gain de temps et la perspective de payer moins cher. Entre 2003 et 2006, le nombre de boutique e-commerce à plus que doublé. Ebay enregistre plus de 4 millions de visiteurs uniques pour novembre 2004 et en gagne 2 millions de plus en 2006. Le e-commerce attirait 100 millions d’acheteurs en 2006 pour 100 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Source : www.acsel.asso.fr/

MySQL AB a été acheté le 16 janvier 2008 par Sun Microsystems pour 1 milliard de dollars US. Avec 400 employées dans 25 pays, MySQL AB est une des plus larges entreprise open source au monde. Elle est la société créatrice de MySQL, un système de gestion de base de données (SGDB). Il fait partie des logiciels de gestion de base de données les plus utilisés au monde, autant par le grand public (applications web principalement) que par des professionnels, au même titre que Oracle ou Microsoft SQL Server.

Selon Forrester Research, le très prestigieux institut de conseil et de recherche en technologie, le commerce électronique à généré quelques 12,2 milliards de dollars de vente annuel aux États-Unis en 2003.

Le projet

FreePay est un prototype de logiciel financier libre sur Internet qui repose sur plusieurs modules:

  • un Marché libre (MIC)
  • un module de swift libre
  • un module de banque libre
  • un module de paiement électronique (FreePay)
  • un module de cartes d’achats et de paiement (FreeCard)
  • un module d’ E-Commerce (FreeShop)
  • un module marché de libre-échange par enchère (FSX)

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Cette solution logiciel s’appuie sur une méthode de développement en forme ouverte et a la particularité d’être sous une licence libre (la GNU GPL) permettant ainsi l’émergence d’une nouvelle forme d’économie et de marché.

Elle se base sur des standards ouverts élaborées par l’Organisation internationale de normalisation (ISO) et le European Committee for Banking Standards (ECBS).

Le Swift Libre enregistre les banques (Bank Identifier Code / Code SWIFT) et leur permettent d’être interopérable entre elles.

La Banque Libre fournit la vérification et la génération du numéro IBAN (International Bank Account Number) dans près de 40 pays européens dont, la France, l’Allemagne, la Suisse, la Belgique, l’Italie, l’Angleterre, le Portugal, l’Irlande…

FreePay se veut une alternative libre aux logiciels de paiement actuels, permettant à chaque utilisateur, de demander, d’envoyer et de recevoir ses paiements rapidemment à partir d’un simple courriel. Il contient un porte monnaie électronique ainsi qu’un historique consultables par les parties. Il est possible d’envoyer une transaction anonymement. Le client peut opérer des transferts de fonds depuis son compte IBAN vers le porte monnaie et inversemment.

Enfin, Free Card se charge de la validation des principales cartes d’achats et de paiement (American Express, Bankcard, China Union Pay, Diner’s Club, Discover Card, JCB, Maestro, Mastercard, Solo, Switch, Visa, Visa Electron, Voyager).

Le module d’ E-Commerce vise à faciliter l’achat de bien sur Internet. Le traitement des commandes est automatisé et contrôlé. Une fois le paiement validé, l’acheteur et le commerçant reçoivent une facture par courriel.

Le Free Stock Exchange (FSX) est un module de marché financier libre où sont effectués des transactions sur des titres financiers. L’offre et de la demande s’y confrontent en application de la philosophie du laissez-faire économique. Le FSX ne crée pas de spéculation financière (bulle spéculative) puisqu’il n’y a pas de risque de variation inverse. L’inscription y est gratuite et chaque membre est libre d’acheter des titres à n’importe quel moment. Chaque titre est identifier par un code international : l’ISIN, très utilisé dans la finance pour identifier les actions, les obligations, les bons, les warrants et les trackers.

Plus d’info sur http://freepay.fr/

Droit d’auteur : « Conformément aux dispositions de la présente directive, les États membres protègent les programmes d’ordinateur par le droit d’auteur en tant qu’œuvres littéraires au sens de la convention de Berne pour la protection des œuvres littéraires et artistiques. »

Source : Directive 91/250/CEE du Conseil, du 14 mai 1991, concernant la protection juridique des programmes d’ordinateur

Ce produit est protégé par le droit de la propriété intellectuelle sous la forme d’une licence libre, la Licence publique générale GNU.

Equipe

The Financial Information eXchange (FIX) Protocol is a messaging standard developed specifically for the real-time electronic exchange of securities transactions. FIX is a public-domain specification owned and maintained by FIX Protocol, Ltd. http://www.fixprotocol.org/

Qu’es ce qu’un logiciel libre ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libre

Modèles économiques des SS2L

Les modèles économiques des SSLL sont liés à la notion de service : vendre un savoir-faire et une expertise plutôt qu’un droit d’usage sur un logiciel.

Le passage suivant de « Open Source Development with CVS (M. Bar & K. Fogel) » (p23/368), illustre le fondement de ce modèle :

« Imaginez un appareil de science fiction qui permettrait de répliquer indéfiniment n’importe quel objet. Si quelqu’un essayait de vous vendre un pneu pour votre voiture, pourquoi l’achèteriez-vous ? Vous pourriez simplement utiliser la machine à répliquer avec le pneu d’un ami ! Cependant, vous voudriez payer quelqu’un pour mettre au point un nouveau pneu pour vous, ou peut-être pour installer le pneu sur votre voiture. Ou pour vous aider au cas n’importe quelle pièce de votre voiture tombe en panne, vous voudriez sans doute une garantie de prise en charge future. Ou peut-être voudriez-vous simplement louer les services d’un mécanicien personnel. ».

Comment vendre l’idée ? -> Réduire les coûts de développement

Les entrepreneurs qui veulent ouvrir leur banque n’ont pas suffisamment de moyen financiers pour y parvenir. C’est un marché de consommateur potentiel qui mérite qu’on s’y attarde. Il faut donc leur réduire les coûts. Comme les logiciels sont immatériels, les investisseurs peuvent se partager les coûts de développement puisque le produit peut être dupliqué à l’infini. Ce qui se résume par l’équation suivante :

Ancien coût du logiciel propriétaire / Nombre de client = Nouveau coût du logiciel libre par client

Exemple sur la base d’un projet qui aurait coûté 50 000 euros par client :

50 000 Euros / 50 Clients = 1000 Euros par client

Soit une économie de 49 000 euros par client soit 2 450 000 Euros d’économie en tout. Les entrepreneurs bancaires ont donc tout intérêt a se regrouper.

La structure de la société

FreePay Inc est une Société de Services en Logiciels Libres (SS2L) spécialisé dans le domaine de la finance et de la bancassurance libre. Elle fait du conseil, de l’intégration de banque en ligne, et développe un progiciel bancaire à partir des services informatiques qu’elle fournit à ses clients.

La stratégie de l’entreprise consiste à développer une intégration horizontale, verticale et transversale du produit dans ses différents aspects (marketing, finance, organisation, informatique).

La vente de service : Le FreePay Community Process (FCP)

  1. Demande d’un service de la part d’un client

  2. Étude de faisabilité / Prix

  3. Négociation et Paiement du client

  4. Réalisation de la prestation

Conclusion

Les banques doivent s’adapter à l’évolution du marché si elles veulent rester compétitive. Les logiciels libres permettent aux banques de réduire leur TCO tout plaçant suffisamment dans l’innovation. Le marché actuel représente 617 milliards d’euros ce qui est une opportunité pour les capital-risqueurs.

La législation européenne est très favorable à la venue de nouveaux acteurs bancaire pour peu qu’il suivent la réglementation en vigueur. De plus, le marché du commerce en ligne augmente exponentiellement depuis quelques années maintenant.

Nous avons vu qu’un tel système est possible techniquement (au vu de la démonstration en ligne) car reposant sur les standards de la banque / finance (ISO / TR / IEC / ECBS) et protégé par le code de la propriété intellectuelle.

De même, la phase d’amorçage coûte dans les 30 000 euros. Cela serait réalisé dans une courte période de temps pour peu que suffisamment de personnes s’y investissent. Cela peut être un investissement en termes compétences ou en apports de capitaux. Ceux qui le veulent, peuvent aussi regarder l’annexe sur la création d’entreprise.

Il fonctionnerait ainsi de la même façon, voir mieux, que progiciels bancaires existants tout en étant moins cher et tout en assurant la compatibilité avec les anciens systèmes.